1
s et d’hommes, doit exécuter un certain nombre de
tâches
(produits et services). On peut presque dire que c’est la loi économi
2
dans tous les secteurs, avec les dimensions de la
tâche
à exécuter, de faire coïncider ces dimensions avec celles de la commu
3
l faut trouver une adéquation de la dimension des
tâches
et de la dimension des communautés qui sont amenées à prendre des déc
4
nnue. La découvrir comme si on l’inventait est la
tâche
singulière de chacune de nos vies. La tyrannie se définit alors par r
5
n veut que la personne s’épanouisse : j’y vois la
tâche
principale de la génération qui monte. J’y vois aussi la condition de
6
er leur autonomie et de s’unir pour affronter des
tâches
excédant les forces de chacune d’elles isolément. Solution optimale d
7
ion, fédération) correspondant aux dimensions des
tâches
à accomplir. (Les chemins vicinaux à la commune, les routes au canton
8
égulièrement « la fin du fédéralisme » dès qu’une
tâche
nouvelle se voit attribuée, en vertu de ses dimensions, à la Confédér
9
vivant ! Deuxième erreur. Mais s’il existe des
tâches
qui débordent la capacité communale et appellent le canton, puis dépa
10
. La saine méthode fédéraliste veut alors que ces
tâches
soient attribuées à des communautés de niveau supérieur, continentale
11
ue le CERN est né, parce que les dimensions de la
tâche
(conception, construction et financement du plus grand synchrocyclotr
12
utés dont la taille correspond aux dimensions des
tâches
, elle se comporte à l’égard des pays voisins exactement comme un État
13
t les dimensions correspondent aux dimensions des
tâches
à entreprendre. Sur ces deux points, nous n’aurions à offrir à nos co
14
éels au niveau le plus terre-à-terre, à partir de
tâches
communes et sans exiger d’abord une révolution complète : les gouvern
15
n jour à l’autre dans notre région. Il y a là une
tâche
énorme à accomplir en commun. La nappe phréatique, aussi, est commun
16
es pouvoirs de décision, selon les dimensions des
tâches
à accomplir d’une part, et selon la taille des groupes sociaux et pol
17
a nature des choses et les dimensions mêmes de la
tâche
appellent normalement. Ainsi l’Europe prend ses racines dans le terre
18
l’Europe. Le simple fait de l’agrandissement des
tâches
économiques, sociales, scientifiques, écologiques, etc. que les réali
19
authentique consiste à accorder la dimension des
tâches
à celle des communautés capables de les gérer, il devient évident que
20
puis mondiale. La Suisse face au monde Les
tâches
nouvelles que l’humanité doit assumer dans les années 1970-1980 sont
21
t, discutant de leurs affaires, il deviendrait la
tâche
de quelques spécialistes délégués qui s’imposeraient et les autres n’
22
je pense que l’homme est né méchant et faible et
tâche
d’utiliser des impératifs imaginaires de toute espèce pour continuer
23
ts d’être méchants, mais totalement inadaptés aux
tâches
de notre temps. Prenez l’exemple de la France : sur le plan internati
24
illes trop peuplées, inhumaines Il se met à la
tâche
. Pendant quatre ans, il réunit documents, rapports, enquêtes, rencont
25
fois les objectifs définis, les plans tracés, les
tâches
réparties et le groupe de pression à pied d’œuvre, il ne restait plus