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e répression par la force ne pouvait suffire à la
tâche
d’extirper les racines vivantes, pures et impures, de la révolte. Au
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ais sans se dissimuler l’extrême difficulté de la
tâche
. Car en effet, pour la mener à bien, il s’agirait de posséder à fond
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es règles, c’est la barbarie. L’Église avait pour
tâche
de réprimer la brutalité et la licence du peuple, mais elle n’y suffi
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iste et militaire, devait se donner pour première
tâche
de surmonter cette crise de mœurs. On commença par opposer à l’idéal
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ivre dans le monde comme s’il n’avait pas d’autre
tâche
ni plus urgente ni plus haute. Ce « chevalier de la foi », quand on l