1
te et hurle son cri favori : « Qu’on lui coupe la
tête
! » Alors le Chat s’élève dans les airs et peu à peu, rend son corps
2
bourreaux indignés, qui se refusent à couper une
tête
pareille. Enfin le Chat disparaît complètement. Mais à certains momen
3
rire qui plane, immatériel. Ensuite, seulement la
tête
se recompose autour de cette angoissante mimique. Le rire de Kierkega