1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1 te pareille à un homme qui vient de tomber sur la tête . Il se relève, se tâte, et ne sait pas encore où il a mal. Va-t-il vi
2 ère rue américaine ! Nous approchons. Tournant la tête vers l’avant, un peu au-dessus de la poupe, je viens de voir un group
3 le considère avec cette méfiance-là ? Il hoche la tête , impénétrable. Évidemment, mon cas se présente mal. J’ai peut-être ou
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 hier, chez Reinhold Niebuhr, l’une des meilleures têtes du pays. Professeur de théologie, socialiste militant, polémiste séri
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
5 te sur le bureau. C’est une sorte de vis énorme à tête carrée, longue d’une douzaine de centimètres, un peu tordue. — Mon a
6 ans ce milieu pseudo-napolitain du xviiie . ⁂ La tête en bas. — L’hémisphère sud est incroyablement moins peuplé que le nor
7 entaines de vaches, au bruit léger, ont tourné la tête vers moi, et me regardent immobiles. Très longtemps. Jusqu’à ce que j
8 tou-youou, et ces chajas à corps d’autruche et à tête de dindons sur des cous déplumés, qui nettoient les charognes en une
9 és dans Alice au pays des merveilles — hochant la tête et crachant par terre. Le résultat de leur examen m’est carrément déf
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 er sifflement, mais il garde pour lui son port de tête et sa présence d’esprit indiscernablement ironique, admirante et sole
5 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
11 age anguleux et couvert de taches de rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit gar
6 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
12 bres denses. Il n’y a plus que, tout près sur nos têtes , les lampes en veilleuses, et le ronron assourdi des moteurs. Une pet