1
el le prestidigitateur, je vais extraire de votre
tête
à vous une magnifique carte postale ! Le peintre. Je compte : une !
2
mon métier. S’ils se fâchent et s’ils perdent la
tête
à votre approche, c’est plutôt parce qu’ils ne savent pas de quoi vou
3
u’on les voit encore dans nos films, copiaient sa
tête
comme vous le savez, et portaient les mêmes favoris. Cela ne l’empêch
4
viendra même pas. Car l’époque ne connaît que des
têtes
de série, tandis que le héros vrai serait inimitable, hors série par
5
t de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa
tête
, son portrait en pied. Il se voit dans l’acte de se raser, de se baig
6
ts comme hors d’eux-mêmes. Alors il lui saisit la
tête
entre ses bras, et la contemple. Et il la nomme dans sa pensée, comme
7
course, changer soudain de contenance, baisser la
tête
, s’assombrir, comme saisi d’une timidité, et fasciné pour la première
8
e contenance, et pour la première fois baisser la
tête
et adorer. Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant
9
anche fuit sa main, et le rocher qui surplombe sa
tête
va tomber mais ne tombe jamais. Pour l’observateur non prévenu, tout
10
soutenu dans la rivière, le rocher soutenu sur sa
tête
, l’onde et la branche ne s’écartant de lui qu’à l’instant où il veut
11
redingotes grises, puis Lazare et ses chiens, la
tête
de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un petit champ
12
le une autre histoire, car il met le vide sur les
têtes
. Le vide est quelque chose d’insatiable… Alors elle se mit à conter :