1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 el le prestidigitateur, je vais extraire de votre tête à vous une magnifique carte postale ! Le peintre. Je compte : une !
2 mon métier. S’ils se fâchent et s’ils perdent la tête à votre approche, c’est plutôt parce qu’ils ne savent pas de quoi vou
2 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
3 u’on les voit encore dans nos films, copiaient sa tête comme vous le savez, et portaient les mêmes favoris. Cela ne l’empêch
4 viendra même pas. Car l’époque ne connaît que des têtes de série, tandis que le héros vrai serait inimitable, hors série par
3 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
5 t de glaces. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête , son portrait en pied. Il se voit dans l’acte de se raser, de se baig
4 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
6 ts comme hors d’eux-mêmes. Alors il lui saisit la tête entre ses bras, et la contemple. Et il la nomme dans sa pensée, comme
5 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
7 course, changer soudain de contenance, baisser la tête , s’assombrir, comme saisi d’une timidité, et fasciné pour la première
8 e contenance, et pour la première fois baisser la tête et adorer. Tout reviendra éternellement à cette minute, à cet instant
6 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
9 anche fuit sa main, et le rocher qui surplombe sa tête va tomber mais ne tombe jamais. Pour l’observateur non prévenu, tout
10 soutenu dans la rivière, le rocher soutenu sur sa tête , l’onde et la branche ne s’écartant de lui qu’à l’instant où il veut
11 redingotes grises, puis Lazare et ses chiens, la tête de beaucoup d’êtres, les souffrances du jeune Werther, un petit champ
7 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
12 le une autre histoire, car il met le vide sur les têtes . Le vide est quelque chose d’insatiable… Alors elle se mit à conter :