1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 l’une en face de l’autre, égales au-dessus de sa tête , pareilles au croissant demi-circulaire de la lune cornue. Il vint da
2 s rapides et, de ses serres, se met à déchirer la tête de l’aigle, qui ne sait plus que se pelotonner sans défense ! Le mil
3 s plus fort que lui-même, et il engendrera par la tête Athéné-Minerve, qui est l’intelligence inventrice, active et artiste,
4 corps humain dont la péninsule ibérique serait la tête avec le Portugal pour front. D’autres la représentaient comme une fem
5 l’honneur de Charles-Quint : « L’Espagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de Languedoc et de Gascogne ;
6 l’image de la Vierge : une Vierge couronnée, pour tête l’Espagne, pour cœur la France, pour bras et mains la Grande-Bretagne
7 ceux de la Légion Thébaine, saint Maurice à leur tête , sacrifiés pour leur foi à Agaune, après avoir, selon les chroniqueur
8 r, qui décerne à Charles, en 799, les titres de «  tête du monde…, cime (ou tiare) de l’Europe, … père suprême » et ce sont l
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
9 e Sem et de celle de Cham. Il n’y a donc plus, en tête à tête et en contacts guerriers ou culturels, que la chrétienté et le
10 t de celle de Cham. Il n’y a donc plus, en tête à tête et en contacts guerriers ou culturels, que la chrétienté et les Infid
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
11 unicus qu’il appelle, mais bien du « monstre aux têtes multiples » qu’il dénonce : le nationalisme. La tâche propre du genr
12 tre agité ! Tu es devenu un monstre aux multiples têtes , et tu te perds en efforts contradictoires. Tu es malade en l’un et l
13 r… Une fois nommé empereur, le roi se mettra à la tête de la chrétienté et marchera sur Jérusalem par terre, comme le firent
14 ial, qu’un seul président X en soit le père et la tête , et que nous autres rois et princes de la chrétienté en soyons les me
15 lle-même se trouve pour le moment, on mettra à la tête des principaux offices de l’Assemblée des hommes qui soient issus et
16 sacrée, en promettant de se mettre lui-même à la tête d’une nouvelle croisade : Qui pourrait refuser son concours quand l’é
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
17 4.«  Têtes de Turcs » Nous avons dit, au reste, que le xvie siècle n’apporte
18 t les guerres naissant l’une de l’autre comme les têtes de l’hydre ont encouragé les Turcs à s’étendre sur l’Europe plus larg
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
19 roduire son texte : elle n’existait que dans leur tête , et par ce qu’ils en dirent aux journalistes, d’après quelques notes
20 ion en une loyale association de tant de diverses têtes et tant diversement intentionnées et intéressées sur la poursuite d’u
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
21 l’abbé, et propose que le roi de France prenne la tête d’une union des républiques européennes, car, dit-il avec un bel opti
22 our voir paraître un plan d’union qui change de «  tête de Turc » si l’on ose dire. Anticipons sur la chronologie, pour marqu
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
23 res dont les souverains sont indépendants et à la tête desquelles se trouve l’empereur… Lorsque des puissances souveraines s
24 font les François, qui ont un tout autre objet en tête . Les Anglois ont pourtant aussi leurs préjugés nationaux ; ils en ont
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
25 cruel, que la colère universelle s’abatte sur la tête branlante de nos persécuteurs, que les vicissitudes d’une guerre sang
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
26 r un Kant ou par un Goethe, l’Allemagne a pris la tête d’une révolution intellectuelle et poétique qui évolue en marge de l’
27  décadence fatale ». Tantôt il voit l’Europe à la tête du progrès mondial, tantôt il la décrit comme promise à la juste veng
28 de son héroïsme, sût placer un petit peuple à la tête des Potentats. À la tête des puissances barbares est le Padisha ; l’E
29 cer un petit peuple à la tête des Potentats. À la tête des puissances barbares est le Padisha ; l’Europe n’a point de relati
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
30 que mainte autre partie de l’Europe n’est que la tête ou le bras avec le poing. Ce bon cœur si honnête que presque toutes l
31 bonne foi la cause des peuples, se trouvera à la tête de toute l’Europe, et pourra tenter tout ce qu’il voudra. 162. Cf.
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
32 x Japeti genus, comme l’écrivait Horace) est à la tête de l’humanité, il n’en énonce pas moins les prophéties les plus sombr
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
33 ais pas, mais je pense qu’à la fin on écrasera la tête du serpent de mer et qu’on écorchera l’ours du Nord. Il n’y aura plus
34 ie une possibilité terrible, pétrifiante comme la tête de Méduse. Quelle perspective ! Dans le meilleur des cas, mourir d’en
35 ensée du siècle qui finissait n’était que dans la tête de quelques philosophes. La philosophie est populaire aujourd’hui. Ci
13 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
36 t tous à ce symbole. Une devise commune placée en tête des écrits contresignera l’œuvre de la société. VIII Tout peuple qui
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
37 visme. Heine voit la Russie comme une méduse à la tête effrayante, et dont les bras vont s’étendre du Bosphore vers l’Asie,
38 e « guerre mondiale » l’obligerait à prendre « la tête du mouvement révolutionnaire ». Au reste, Marx considérait que les Ét
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
39 elle : le mahométisme. À tous les périls, il tint tête , bien que dépouillé de vastes territoires ; il se releva, une fois la
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
40 ire, certains savants et philosophes perdirent la tête  : ils rêvèrent que la science donnerait réponse à tout et l’érigèrent
41 établirent, au profit du monde gréco-romain, une tête de pont sur l’océan Atlantique, à l’emplacement de ce qui est aujourd
42 formés dans ses vieilles universités, toujours en tête de la connaissance, auteurs des grandes, des prodigieuses découvertes
43 anistes révolutionnaires de la Renaissance et les têtes chaudes de la Réformation puisèrent leurs inspirations modernes dans
44 inents que les océans séparent. Elle prendrait la tête des nations de la terre parce qu’elle serait seule à leur fournir des