1
ns la mesure où l’obsession de la puissance est l’
ultima ratio
de ses décisions. Mais d’où tient-il sa puissance ? Je pense que c’es
2
ns la mesure où l’obsession de la puissance est l’
ultima ratio
de ses décisions. Mais d’où tient-il sa puissance actuelle, sinon du
3
ns la mesure où l’obsession de la puissance est l’
ultima ratio
de ses décisions. Mais d’où tient-il sa puissance actuelle, sinon du
4
e la guerre, préparant la guerre, et trouvant l’«
ultima ratio
» de toutes ses contraintes dans cette préparation à la guerre — je v
5
ent accordée contre la « subversion ouvrière ». L’
ultima ratio
de la « défense nationale » pourra toujours couvrir, faute de mieux,
6
u’il nomme encore « la défense nationale », cette
ultima ratio
de toutes ses exactions contre la terre qu’il dit sacrée mais qu’il d
7
sent à la guerre, cause initiale et cause finale,
ultima ratio
de l’État. La préparation à la guerre polarise les économies dites «
8
es, et des « exigences » de la défense nationale,
ultima ratio
de l’arbitraire du pouvoir, du ça qui va sans dire parce qu’il n’oser
9
r les réalités (au nom de la raison d’État dont l’
ultima ratio
est la guerre). Et les réalités se vengent, d’où les crises actuelles
10
tionale », la justification en dernier recours, l’
ultima ratio
de leurs décisions les moins défendables à tout autre point de vue —
11
me, uniformisé et uniformisant. La guerre étant l’
ultima ratio
de l’État-nation, on ne voit pas comment pourrait en sortir la paix,
12
nomie sont réglés par la préparation à la guerre,
ultima ratio
de toutes les mesures de centralisation et de mainmise de l’État sur
13
ent accordée contre la « subversion ouvrière ». L’
ultima ratio
de la « défense nationale » pourra toujours couvrir, faute de mieux,