1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 t s’établir entre les groupes divers et la nation unie , puis entre les nations diverses et l’Europe ; puis entre l’Europe et
2 nde se résume dans ce simple dilemme : la Planète unie ou la Bombe. Et je veux dire : Si les États-Unis et la Russie ne s’e
3 pas d’une Europe forte, c’est-à-dire d’une Europe unie et autonome ; elle ne veut qu’une Europe livrée à sa merci par les ri
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4 r qu’il ne le semble. Elle est déjà beaucoup plus unie , en réalité, qu’elle ne le croit. C’est sur le plan de l’action gouve
5 stes, de généreux assembleurs de nuées ! L’Europe unie , bien sûr, d’accord, mais c’est un plan prématuré. » Or, je venais d’
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6 e provoquer la réunion d’un congrès pour l’Europe unie . Il ne s’agissait pas, dans son esprit, d’une entreprise « fédéralist
7 ment final du Congrès : « Nous voulons une Europe unie , rendue dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des
8 l van Zeeland) ; Mouvement français pour l’Europe unie (président Raoul Dautry). Les Nouvelles équipes internationales et l’
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9 mme est l’axe même de nos efforts vers une Europe unie  ; Considérant qu’une Déclaration des droits est insuffisante et qu’il
10 es par notre Congrès : 1) Nous voulons une Europe unie , rendue dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des