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lonial, ce serait à peine assez de toute l’Europe
unie
pour contribuer à résoudre, aujourd’hui, les problèmes de la faim, de
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s le titre L’Europe en jeu , portait ces mots :
unie
ou colonisée (Colonisée par une armée ou une monnaie, cela s’entenda
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a française) qui prétendent redouter que l’Europe
unie
de demain soit un affreux méli-mélo où l’on ne parle plus que l’espér
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ujourd’hui désunie et telle qu’elle pourrait être
unie
demain, n’apparaissent pas souvent dans les discours des militants eu
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relèvent de la région, de la nation, de l’Europe
unie
ou de communautés électives (non natives), universelle par définition
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ateurs et de leur formation. L’avenir de l’Europe
unie
se joue dans les écoles normales. Aussi longtemps qu’un changement d’
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de l’Est, disent qu’ils veulent bien de l’Europe
unie
, si elle respecte les souverainetés nationales. Ce qui revient à dire
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alent mieux que la puissance collective. L’Europe
unie
sera seule capable de réaliser leur vision. On me dira peut-être auss
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t qu’ils refoulent, en le bagatellisant. L’Europe
unie
à bref délai, de leur vivant, ce serait, pour la plupart d’entre eux,
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ne peut être menée que dans le cadre de l’Europe
unie
, laquelle sera fédéraliste ou ne sera pas. Dans cette Europe unie, la
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era fédéraliste ou ne sera pas. Dans cette Europe
unie
, la représentation du peuple français sera assurée par l’État fédéral
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renne plus de temps que les pionniers de l’Europe
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ne l’exigeaient et ne l’annonçaient dans l’enthousiasme des premiers
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la révolution régionaliste, condition de l’Europe
unie
, est autre chose qu’une mode ou un slogan. Le processus sera long et
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ns une Europe fédérée, au seuil de l’ère du monde
uni
.) Le collège groupant les chefs et responsables de ces agences ou dép
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rs. Ils vous demandaient si vous vouliez l’Europe
unie
. Les deux tiers d’entre vous répondaient oui, mais chez les jeunes, d
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jeux des enfants. Qui serait contre cette Europe
unie
, follement complexe, heureuse, aventureuse ? Tout ce qui est jeune es
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simplement : « Pourquoi l’Europe n’est pas encore
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? » Je crois leur avoir répondu : c’est à cause de l’État-nation, que