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econd, c’est que le chef de l’Église confessante (
Union
des luthériens et calvinistes allemands), le pasteur Martin Niemöller
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e, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’
union
dans la diversité. II Maintenant que voici définies, ou plutôt
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e il se comprend lui-même ; ne point rechercher l’
union
dans le compromis, mais dans cette clarté rigoureuse que répand la vr
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un monde où s’installe, peu à peu, le régime de l’
union
sacrée et de la « discipline de l’opinion ». Dans quelle mesure un ci
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tion rend un pouvoir. Notre force est dans notre
union
. Or, pour s’unir, il faut d’abord un but commun. Il faut ensuite sacr
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la connaissance très vivante d’une autre espèce d’
union
, sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à peu près intell
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ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’
union
centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
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son sens étymologique. (fœdus = traité, serment,
union
.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég