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ibles épidémies se propageraient ainsi. Quant à l’
Union
soviétique, elle subirait des pertes très lourdes, mais pas définitiv
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Des régions à la paix pour l’
union
de l’Europe (juillet-août 1982)j 1. La formule de l’État-nation in
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se aujourd’hui l’obstacle majeur à toute espèce d’
union
de l’Europe, c’est-à-dire à la condition préalable de l’établissement
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préservation de l’environnement. Vouloir fonder l’
union
de l’Europe sur les États-nations souverains, c’est vouloir un cercle
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ute à perdre. j. « Des régions à la paix pour l’
union
de l’Europe », L’Humaniste, Genève, n° 4, juillet-août 1982, p. 1 et
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admos, Rapport au peuple européen sur l’état de l’
union
de l’Europe 1979, Paris, Stock, 1979, p. 128.
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e la condition de survie de l’Europe est dans son
union
, dans sa fédération, sur la base même de ses différences. Si elle n’a
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e, par définition, de s’unir : on ne base pas une
union
sur cet obstacle par excellence à toute union qu’est l’État-nation d’
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une union sur cet obstacle par excellence à toute
union
qu’est l’État-nation d’aujourd’hui. Vouloir fonder l’union de l’Europ
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est l’État-nation d’aujourd’hui. Vouloir fonder l’
union
de l’Europe sur ses États-nations, c’est vouloir faire un cercle carr
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, pour moi, faire une fédération de l’Europe, une
union
réelle sur la base de la seule unité existante, qui est l’unité de cu
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trois suggestions : — Organiser le dialogue sur l’
union
à partir de la culture, considérée comme seule base commune, des tren
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s’agirait du problème global de la Suisse et de l’
union
de l’Europe. J’avais dit oui, bien sûr et bravo. Puis j’ai lu l’énonc
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suisse et la CEE élargie ou bien La Suisse et l’
union
de l’Europe Sur le premier titre, j’aurais tout de suite à observer
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les cas à celui-ci : 1. Quelle Suisse et quelle
union
de l’Europe ? Il ne s’agit nullement dans tout cela de « simples q
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, et de plus loin à la fois. 2. La Suisse et l’
union
européennen Le sujet qui m’importe et m’intéresse au sens fort du
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resse au sens fort du terme, c’est la Suisse et l’
union
européenne. Car je suis (depuis trente-cinq ans) profondément convai
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ités et pour les sauvegarder). 3. Toute formule d’
union
autre que fédérative est incompatible avec l’identité suisse. La que
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ait dangereux de prétendre fonder et développer l’
union
sociale, écologique, culturelle et politique des peuples du continent
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itions de participation active de la Suisse à une
union
européenne sont faciles à formuler. Ce sont les trois suivantes : 1°
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guerre. La Suisse ne pourrait participer qu’à une
union
qui serait elle-même neutre, c’est-à-dire purement défensive. 2° Le
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leur pays. La Suisse ne pourrait adhérer qu’à une
union
de type fédéral, ménageant la pleine autonomie des communautés qui la
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n chercher ? Les deux obstacles principaux à l’
union
des peuples européens étant la souveraineté nationale absolue d’une p
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faire face au problème proprement politique de l’
union
européenne, pourquoi s’interdire de supputer les effets d’une fusion
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fois survivance de l’antique unité et germe de l’
union
à venir, la Suisse est plus que jamais nécessaire à l’Europe à condit
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néfique, qu’elle soit la dernière à rejoindre une
union
fédérale de nos peuples, dont elle aura été, dans le même temps, la p
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faire revivre l’esprit européen et le traduire en
union
politique de nos peuples. Je suis retourné pour quelques mois aux Éta
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ncevoir la planète entière, l’humanité entière. L’
union
de l’Europe serait donc, à mon sens et dans cette perspective, qui n’
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n unité, sans laquelle on ne pourrait pas créer d’
union
— il y a une énorme différence entre ces deux mots : l’unité, c’est u
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deux mots : l’unité, c’est une donnée de base, l’
union
, c’est une chose que l’on fait, que l’on bâtit, volontairement — l’un
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stion qui peut être très importante : celle d’une
union
européenne des maires. Certes, il y a un Conseil des communes d’Europ
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u paradoxale, le fédéralisme consiste à créer une
union
tout juste suffisante pour préserver les autonomies et leur diversité
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que le sort de la paix dépendait désormais d’une
union
— que je souhaitais fédérale, c’est-à-dire respectueuse des autonomie
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tion avec Raymond Silva, l’un des fondateurs de l’
Union
européenne des fédéralistes, qui m’avait déjà secondé à La Haye. Ense
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s ou Rapport au peuple européen sur l’état de l’
union
européenne . Et des centaines d’articles, d’essais, de brochures, de
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uropéenne ne serait sauvée, à son tour, que par l’
union
politique et économique de l’Europe. Bien, très bien même. Quelques a
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dérée : même avenir. L’Europe ne pourra faire son
union
, qui est un acte volontaire, que sur la base de l’unité de sa culture
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e réalité donnée depuis des millénaires. Fonder l’
union
de l’Europe sur l’unité culturelle des Européens — Athènes, Rome, Jér
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cause du fédéralisme européen, considéré comme l’
union
spontanée et limitée à des fonctions jalousement définies, de régions
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ent des frontières étatiques et d’action pour une
union
culturelle qui transcende les actuelles frontières stato-nationales.
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e spirituel, en rappelant l’action du pape pour l’
union
de l’Europe. Tout au long de ces trois journées, il me semble que nou
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ntie par le courage d’affronter les risques ; — l’
union
solide ayant pour fonction de garantir l’autonomie de ses membres. ⁂
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dans ses livres et ses interventions diverses, l’
union
de l’Europe par le fédéralisme et la culture. »
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les premiers textes énergiquement favorables à l’
union
de l’Europe au-delà des nationalismes. On ignore trop souvent que l’i
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bien et le mal, où il est dit que tout va vers l’
union
de l’Europe, que les meilleurs esprits du temps l’ont déjà compris. T
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découvert l’Europe, et la nécessité vitale de son
union
, si les Alliés gagnaient, la délivraient d’Hitler. Et dès mon retour
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eule peut-être — qui dépend de l’Europe et de son
union
réalisée à temps : la fédération de nos peuples. À cette union s’oppo
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e à temps : la fédération de nos peuples. À cette
union
s’oppose le dogme de la souveraineté absolue des États-nations. Il es
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enu parfaitement clair qu’on ne peut pas fonder l’
union
de l’Europe sur la base des États qui s’y opposent par nature, tout e
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itution de 1924 Elle traduit la formation de l’
Union
des républiques socialistes soviétiques, ou URSS, proclamée en 1922.
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tral exécutif devient le Parlement bicaméral de l’
Union
, constitué par le Soviet de l’Union et le Soviet des nationalités (su
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icaméral de l’Union, constitué par le Soviet de l’
Union
et le Soviet des nationalités (sur le modèle du Congrès et du Sénat a
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titution de 1936, intitulée Loi fondamentale de l’
Union
des républiques socialistes soviétiques et couramment appelée « Const
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hapitre II sur l’Organisation de l’État définit l’
Union
des républiques soviétiques socialistes (art. 13) comme « un État féd
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omme « un État fédéral constitué sur la base de l’
union
librement consentie de républiques soviétiques socialistes égales en
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istes de cette constitution. Sont du ressort de l’
Union
, selon l’art. 14, les compétences caractéristiques de la plupart des
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me de l’URSS exerce tous les droits attribués à l’
Union
» (art. 14) et qui « ne sont pas de la compétence des organes du pouv
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32, se compose de deux chambres : le Soviet de l’
Union
et le Soviet des nationalités. Ce qui correspond exactement au systèm
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e (art. 77) toutes les compétences fédérales de l’
Union
(Défense, Affaires étrangères, etc.), les autres étant du ressort des
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ique ». Certes, le droit de « quitter librement l’
Union
» est maintenu pour chaque république fédérée, mais tout comme les dr
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J. M. (ed.), The Constitution of the USSR and the
Union
Republics, Alphen a-den Rijn, Sijtholf & Nordhoff, 1979. Hazard