1 1982, Articles divers (1982-1985). « Des manifestations pacifistes encore plus grandes ! » (2 juillet 1982)
1 ibles épidémies se propageraient ainsi. Quant à l’ Union soviétique, elle subirait des pertes très lourdes, mais pas définitiv
2 1982, Articles divers (1982-1985). Des régions à la paix pour l’union de l’Europe (juillet-août 1982)
2 Des régions à la paix pour l’ union de l’Europe (juillet-août 1982)j 1. La formule de l’État-nation in
3 se aujourd’hui l’obstacle majeur à toute espèce d’ union de l’Europe, c’est-à-dire à la condition préalable de l’établissement
4 préservation de l’environnement. Vouloir fonder l’ union de l’Europe sur les États-nations souverains, c’est vouloir un cercle
5 ute à perdre. j. « Des régions à la paix pour l’ union de l’Europe », L’Humaniste, Genève, n° 4, juillet-août 1982, p. 1 et
6 admos, Rapport au peuple européen sur l’état de l’ union de l’Europe 1979, Paris, Stock, 1979, p. 128.
3 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
7 e la condition de survie de l’Europe est dans son union , dans sa fédération, sur la base même de ses différences. Si elle n’a
8 e, par définition, de s’unir : on ne base pas une union sur cet obstacle par excellence à toute union qu’est l’État-nation d’
9 une union sur cet obstacle par excellence à toute union qu’est l’État-nation d’aujourd’hui. Vouloir fonder l’union de l’Europ
10 est l’État-nation d’aujourd’hui. Vouloir fonder l’ union de l’Europe sur ses États-nations, c’est vouloir faire un cercle carr
11 , pour moi, faire une fédération de l’Europe, une union réelle sur la base de la seule unité existante, qui est l’unité de cu
12 trois suggestions : — Organiser le dialogue sur l’ union à partir de la culture, considérée comme seule base commune, des tren
4 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
13 s’agirait du problème global de la Suisse et de l’ union de l’Europe. J’avais dit oui, bien sûr et bravo. Puis j’ai lu l’énonc
14 suisse et la CEE élargie ou bien La Suisse et l’ union de l’Europe Sur le premier titre, j’aurais tout de suite à observer
15 les cas à celui-ci : 1. Quelle Suisse et quelle union de l’Europe ? Il ne s’agit nullement dans tout cela de « simples q
16 , et de plus loin à la fois. 2. La Suisse et l’ union européennen Le sujet qui m’importe et m’intéresse au sens fort du
17 resse au sens fort du terme, c’est la Suisse et l’ union européenne. Car je suis (depuis trente-cinq ans) profondément convai
18 ités et pour les sauvegarder). 3. Toute formule d’ union autre que fédérative est incompatible avec l’identité suisse. La que
19 ait dangereux de prétendre fonder et développer l’ union sociale, écologique, culturelle et politique des peuples du continent
20 itions de participation active de la Suisse à une union européenne sont faciles à formuler. Ce sont les trois suivantes : 1°
21 guerre. La Suisse ne pourrait participer qu’à une union qui serait elle-même neutre, c’est-à-dire purement défensive. 2° Le
22 leur pays. La Suisse ne pourrait adhérer qu’à une union de type fédéral, ménageant la pleine autonomie des communautés qui la
23 n chercher ? Les deux obstacles principaux à l’ union des peuples européens étant la souveraineté nationale absolue d’une p
24 faire face au problème proprement politique de l’ union européenne, pourquoi s’interdire de supputer les effets d’une fusion
25 fois survivance de l’antique unité et germe de l’ union à venir, la Suisse est plus que jamais nécessaire à l’Europe à condit
26 néfique, qu’elle soit la dernière à rejoindre une union fédérale de nos peuples, dont elle aura été, dans le même temps, la p
5 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
27 faire revivre l’esprit européen et le traduire en union politique de nos peuples. Je suis retourné pour quelques mois aux Éta
28 ncevoir la planète entière, l’humanité entière. L’ union de l’Europe serait donc, à mon sens et dans cette perspective, qui n’
29 n unité, sans laquelle on ne pourrait pas créer d’ union — il y a une énorme différence entre ces deux mots : l’unité, c’est u
30 deux mots : l’unité, c’est une donnée de base, l’ union , c’est une chose que l’on fait, que l’on bâtit, volontairement — l’un
31 stion qui peut être très importante : celle d’une union européenne des maires. Certes, il y a un Conseil des communes d’Europ
6 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : réponse à Raimondo Strassoldo (1984)
32 u paradoxale, le fédéralisme consiste à créer une union tout juste suffisante pour préserver les autonomies et leur diversité
7 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
33 que le sort de la paix dépendait désormais d’une union — que je souhaitais fédérale, c’est-à-dire respectueuse des autonomie
34 tion avec Raymond Silva, l’un des fondateurs de l’ Union européenne des fédéralistes, qui m’avait déjà secondé à La Haye. Ense
35 s ou Rapport au peuple européen sur l’état de l’ union européenne . Et des centaines d’articles, d’essais, de brochures, de
36 uropéenne ne serait sauvée, à son tour, que par l’ union politique et économique de l’Europe. Bien, très bien même. Quelques a
37 dérée : même avenir. L’Europe ne pourra faire son union , qui est un acte volontaire, que sur la base de l’unité de sa culture
38 e réalité donnée depuis des millénaires. Fonder l’ union de l’Europe sur l’unité culturelle des Européens — Athènes, Rome, Jér
8 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
39 cause du fédéralisme européen, considéré comme l’ union spontanée et limitée à des fonctions jalousement définies, de régions
9 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
40 ent des frontières étatiques et d’action pour une union culturelle qui transcende les actuelles frontières stato-nationales.
41 e spirituel, en rappelant l’action du pape pour l’ union de l’Europe. Tout au long de ces trois journées, il me semble que nou
42 ntie par le courage d’affronter les risques ; — l’ union solide ayant pour fonction de garantir l’autonomie de ses membres. ⁂
10 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
43 dans ses livres et ses interventions diverses, l’ union de l’Europe par le fédéralisme et la culture. »
11 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
44 les premiers textes énergiquement favorables à l’ union de l’Europe au-delà des nationalismes. On ignore trop souvent que l’i
45 bien et le mal, où il est dit que tout va vers l’ union de l’Europe, que les meilleurs esprits du temps l’ont déjà compris. T
12 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
46 découvert l’Europe, et la nécessité vitale de son union , si les Alliés gagnaient, la délivraient d’Hitler. Et dès mon retour
47 eule peut-être — qui dépend de l’Europe et de son union réalisée à temps : la fédération de nos peuples. À cette union s’oppo
48 e à temps : la fédération de nos peuples. À cette union s’oppose le dogme de la souveraineté absolue des États-nations. Il es
49 enu parfaitement clair qu’on ne peut pas fonder l’ union de l’Europe sur la base des États qui s’y opposent par nature, tout e
13 1994, Articles divers (1982-1985). URSS (1994)
50 itution de 1924 Elle traduit la formation de l’ Union des républiques socialistes soviétiques, ou URSS, proclamée en 1922.
51 tral exécutif devient le Parlement bicaméral de l’ Union , constitué par le Soviet de l’Union et le Soviet des nationalités (su
52 icaméral de l’Union, constitué par le Soviet de l’ Union et le Soviet des nationalités (sur le modèle du Congrès et du Sénat a
53 titution de 1936, intitulée Loi fondamentale de l’ Union des républiques socialistes soviétiques et couramment appelée « Const
54 hapitre II sur l’Organisation de l’État définit l’ Union des républiques soviétiques socialistes (art. 13) comme « un État féd
55 omme « un État fédéral constitué sur la base de l’ union librement consentie de républiques soviétiques socialistes égales en
56 istes de cette constitution. Sont du ressort de l’ Union , selon l’art. 14, les compétences caractéristiques de la plupart des
57 me de l’URSS exerce tous les droits attribués à l’ Union  » (art. 14) et qui « ne sont pas de la compétence des organes du pouv
58 32, se compose de deux chambres : le Soviet de l’ Union et le Soviet des nationalités. Ce qui correspond exactement au systèm
59 e (art. 77) toutes les compétences fédérales de l’ Union (Défense, Affaires étrangères, etc.), les autres étant du ressort des
60 ique ». Certes, le droit de « quitter librement l’ Union  » est maintenu pour chaque république fédérée, mais tout comme les dr
61 J. M. (ed.), The Constitution of the USSR and the Union Republics, Alphen a-den Rijn, Sijtholf & Nordhoff, 1979. Hazard