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peut-être surtout dans ce cas ! La panique de « l’
union
sacrée » qui vient de souffler sur notre élite en est l’ahurissant ex
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s que lui pose l’économie moderne. À défaut d’une
union
librement consentie, notre anarchie présente nous exposera demain à l
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le bénéfice à tous les hommes, que nous voulons l’
union
de notre continent. Sur cette union l’Europe joue son destin et celui
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ous voulons l’union de notre continent. Sur cette
union
l’Europe joue son destin et celui de la paix du monde. Soit donc noto
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l a fallu plus de cinq-cents ans pour sceller son
union
fédérale. Tout le monde se trompe. Il a fallu neuf mois. En voici le
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s prévisions des réalistes quant aux effets d’une
union
« trop rapide » remplissaient nos journaux, il y a cent-trois ans : i
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les ordres, que l’on ne peut préserver que par l’
union
et que l’unification tuerait. Mais sans sacrifices d’amour-propre, sa
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, ceux dont le regard s’attarde aux obstacles à l’
union
, perdant de vue sa nécessité, il nous reste à leur faire comprendre q
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Les deux tiers des Européens se déclarent pour l’
union
, lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Sui
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arité qui ne saurait nuire à « l’achèvement d’une
union
plus intime entre ses membres ». Les manchettes des journaux parleron
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es journaux parleront d’un « pas important vers l’
union
». Et les Anglais jugeront qu’ils ne peuvent s’associer à ces engagem
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utre, qui résoudra le problème du chômage, mais l’
union
de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut faire reculer l