1 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
1 peut-être surtout dans ce cas ! La panique de « l’ union sacrée » qui vient de souffler sur notre élite en est l’ahurissant ex
2 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
2 s que lui pose l’économie moderne. À défaut d’une union librement consentie, notre anarchie présente nous exposera demain à l
3 le bénéfice à tous les hommes, que nous voulons l’ union de notre continent. Sur cette union l’Europe joue son destin et celui
4 ous voulons l’union de notre continent. Sur cette union l’Europe joue son destin et celui de la paix du monde. Soit donc noto
3 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
5 l a fallu plus de cinq-cents ans pour sceller son union fédérale. Tout le monde se trompe. Il a fallu neuf mois. En voici le
6 s prévisions des réalistes quant aux effets d’une union « trop rapide » remplissaient nos journaux, il y a cent-trois ans : i
4 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
7 les ordres, que l’on ne peut préserver que par l’ union et que l’unification tuerait. Mais sans sacrifices d’amour-propre, sa
8 , ceux dont le regard s’attarde aux obstacles à l’ union , perdant de vue sa nécessité, il nous reste à leur faire comprendre q
9 Les deux tiers des Européens se déclarent pour l’ union , lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Sui
10 arité qui ne saurait nuire à « l’achèvement d’une union plus intime entre ses membres ». Les manchettes des journaux parleron
11 es journaux parleront d’un « pas important vers l’ union  ». Et les Anglais jugeront qu’ils ne peuvent s’associer à ces engagem
12 utre, qui résoudra le problème du chômage, mais l’ union de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut faire reculer l