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pprennent le prix de l’or, c’en sera fait de leur
union
patriarcale. Mais la tentation est trop forte. Les Suisses passent ou
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Diète des cantons n’ont pas suffi pour rétablir l’
union
. C’est alors que se placent les événements dont nous parlaient nos ma
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« régionalistes » que notre État est d’abord une
union
, cependant qu’il rappelle aux « centralistes » que le bien de tous su
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la connaissance très vivante d’une autre espèce d’
union
, sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à-peu-près intell
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ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’
union
centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
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son sens étymologique. (fœdus = traité, serment,
union
.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég
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nous propose d’entrer dans une forme quelconque d’
union
européenne ? Le fait est que nos voisins d’Europe comprennent de moin
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personne n’a proposé une meilleure solution que l’
union
. « Les vrais intérêts de l’Europe entière », c’est donc tout simpleme
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e la Suisse contribue sérieusement à promouvoir l’
union
? Peut-on dire que la Suisse, en refusant de se risquer à Strasbourg,
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treprises internationales, telles que l’OECE et l’
Union
des paiements. Mais c’était en réalité parce que nous ne pouvions plu
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plus faire autrement. Ce n’était pas pour hâter l’
union
, mais par intérêt bien compris. Il serait donc un peu excessif de cit
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itude méfiante et presque négative à l’égard de l’
union
nécessaire. À la question qu’on me pose de tous côtés : Êtes-vous pou
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e l’Europe entière, c’est-à-dire au profit de son
union
fédérale, et de cela seul. Encore faut-il que cette union prenne form
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dérale, et de cela seul. Encore faut-il que cette
union
prenne forme, et qu’en son nom des questions très précises nous soien
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au contraire elle devient un prétexte à freiner l’
union
de l’Europe et à ne pas y prendre notre part, elle est contraire à l’
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t être qu’au profit de l’Europe entière et de son
union
fédérale ; et j’ai ajouté : « Encore faut-il que cette union prenne f
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ale ; et j’ai ajouté : « Encore faut-il que cette
union
prenne forme. » Telle est ma thèse principale. Au surplus, je souhait