1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 pprennent le prix de l’or, c’en sera fait de leur union patriarcale. Mais la tentation est trop forte. Les Suisses passent ou
2 Diète des cantons n’ont pas suffi pour rétablir l’ union . C’est alors que se placent les événements dont nous parlaient nos ma
3 « régionalistes » que notre État est d’abord une union , cependant qu’il rappelle aux « centralistes » que le bien de tous su
2 1941, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Autocritique de la Suisse (février 1941)
4 la connaissance très vivante d’une autre espèce d’ union , sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à-peu-près intell
5 ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’ union centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
6 son sens étymologique. (fœdus = traité, serment, union .) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég
3 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
7 nous propose d’entrer dans une forme quelconque d’ union européenne ? Le fait est que nos voisins d’Europe comprennent de moin
8 personne n’a proposé une meilleure solution que l’ union . « Les vrais intérêts de l’Europe entière », c’est donc tout simpleme
9 e la Suisse contribue sérieusement à promouvoir l’ union  ? Peut-on dire que la Suisse, en refusant de se risquer à Strasbourg,
10 treprises internationales, telles que l’OECE et l’ Union des paiements. Mais c’était en réalité parce que nous ne pouvions plu
11 plus faire autrement. Ce n’était pas pour hâter l’ union , mais par intérêt bien compris. Il serait donc un peu excessif de cit
12 itude méfiante et presque négative à l’égard de l’ union nécessaire. À la question qu’on me pose de tous côtés : Êtes-vous pou
13 e l’Europe entière, c’est-à-dire au profit de son union fédérale, et de cela seul. Encore faut-il que cette union prenne form
14 dérale, et de cela seul. Encore faut-il que cette union prenne forme, et qu’en son nom des questions très précises nous soien
15 au contraire elle devient un prétexte à freiner l’ union de l’Europe et à ne pas y prendre notre part, elle est contraire à l’
4 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
16 t être qu’au profit de l’Europe entière et de son union fédérale ; et j’ai ajouté : « Encore faut-il que cette union prenne f
17 ale ; et j’ai ajouté : « Encore faut-il que cette union prenne forme. » Telle est ma thèse principale. Au surplus, je souhait