1
et 1937)aj M. Benda décrivait l’autre jour à l’
Union
pour la vérité, une « querelle des générations » dont il définissait
2
ut dans la forêt, où plus rien ne s’oppose à leur
union
, le génie de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descen
3
ide de toute vie personnelle ; selon le second, l’
union
monogamique serait la forme la plus rationnelle des relations entre l
4
uisit dans la réalité par une généralisation de l’
union
libre, de l’avortement, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’
5
doute : on en viendra à n’autoriser plus que les
unions
contractées sur une base eugénique, selon certains critères statistiq
6
ente, encore ne sauriez-vous prévoir la fin d’une
union
faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, des millénaires
7
de s’en priver. Mais je dis que la garantie d’une
union
raisonnable en apparences n’est jamais dans ces apparences. Elle est
8
écanique : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette
union
tout à fait monstrueuse des forces de mort et des forces créatrices v
9
s concevoir que la passion, née du mortel désir d’
union
mystique, ne saurait être dépassée et accomplie que par la rencontre
10
és, et n’ont point jugé nécessaire de proclamer l’
union
sacrée, au terme de négociations dramatiques, coupées de pathétiques
11
s chefs de partis baissent le nez, font appel à l’
union
sacrée, et délèguent tout pouvoir à l’État, qui est en l’espèce un no