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l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’
union
des chrétiens en Christ, cette foi pouvant être connotée par le rejet
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st dans la mesure exacte où elles ont douté d’une
union
par essence incontrôlable, qu’elles ont perdu leur communion réelle.
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iens le soin de définir la doctrine positive de l’
union
au nom de laquelle doit être condamnée l’hérésie unitaire. Doctrine d
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pître aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’
union
, précisément, que Paul établit avec le plus de force la légitimité de
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moi sommes un », qui établit le modèle même de l’
union
dans la distinction des personnes ? Posons ces questions-là aux docte
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vocations divines n’est pas une imperfection de l’
union
, mais sa vie même. Un deuxième trait, complémentaire d’ailleurs, doit
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it en profondeur. En d’autres termes, l’appel à l’
union
ne s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque Église, mais à leu
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tion ou leur doctrine particulière. Au principe d’
union
transcendant qui assure la permanence de l’Église universelle, certai
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t antiœcuménique. Sa volonté d’unité s’oppose à l’
union
. Elle transforme la diversité en division. Alors il y a scandale, et
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ouve la position spirituelle centrale qui fonde l’
union
dans la diversité, nous avons à chercher la position philosophique ce
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la même position centrale définissant à la fois l’
union
et la diversité, l’engagement et la liberté, les droits du tout et le
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ieux qu’un équilibre, il y a un principe vivant d’
union
. Là où est l’Esprit, là est la liberté, mais là aussi est la vraie co
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e les diversités régionales sont la vie même de l’
Union
. Mais par l’organe central qui lie toutes les régions, il ménage un r
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nne se placer à l’avant-garde du mouvement vers l’
union
, nous ne verrons l’œcuménisme se réaliser avec puissance que dans l’é