1 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
1 rre et inflation, toute cette presse proclamait l’ union des partis, l’oubli des polémiques, la confiance dans le gouvernement
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
2 l a fallu plus de cinq-cents ans pour sceller son union fédérale. Tout le monde se trompe. Il a fallu neuf mois. En voici le
3 s prévisions des réalistes quant aux effets d’une union « trop rapide » remplissaient nos journaux, il y a cent-trois ans : i
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
4 on. Je vois bien qu’il se dit partisan d’un peu d’ union tout de même, pour faire face aux Soviets et au déficit en dollars. S
5 ire d’action positive. À ces deux conditions de l’ union — les mieux faites pour la rendre impossible, l’une en esprit et l’au
6 en cache de pires, pour arrêter l’élan vers notre union . N’attaquez pas les souverainetés, dépassez-les ! Refaites-en une à l
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
7 les ordres, que l’on ne peut préserver que par l’ union , et que l’unification tuerait. Mais sans sacrifices d’amour-propre, s
8 , ceux dont le regard s’attarde aux obstacles à l’ union , perdant de vue sa nécessité, il nous reste à leur faire comprendre q
9 Les deux tiers des Européens se déclarent pour l’ union , lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Sui
10 darité qui ne saurait nuire à « l’avènement d’une union plus intime entre ses membres ». Les manchettes des journaux parleron
11 es journaux parleront d’un « pas important vers l’ union  ». Et les Anglais jugeront qu’ils ne peuvent s’associer à ces engagem
12 utre, qui résoudra le problème du chômage, mais l’ union de nos sacrifices. Qui peut nous l’imposer ? Qui peut faire reculer l
5 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
13 ites. Mais nos faiblesses, nées de notre manque d’ union , appellent dangereusement l’Amérique à prendre en main le sort de déb
14 monde du xxe siècle. On sait l’histoire de cette union . En 1787, les treize États qui venaient de se libérer de la tutelle b
15 it assurer son essor et sa longue primauté dans l’ Union . C’est donc précisément dans la presse de New York que trois des réda
16 une longue série d’articles discutant le projet d’ union et démontrant ses avantages. Ces écrits réunis sous un nom bientôt il
17 modération à ces frères trop sûrs d’eux-mêmes. L’ Union nous en rendra capables. La désunion préparerait une nouvelle victime
18 ze États, réunis dans une étroite et indissoluble union , concourent à la formation d’un grand système américain qui soit au-d
6 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
19 cou reconnaît implicitement la nécessité de notre union , dénoncée par les communistes comme une idée américaine. En affirmant
20 rattachement des pays de l’Est à quelque forme d’ union occidentale. On ne voit pas ce qui empêcherait les 435 millions d’Eur
21 de l’Europe, et des plus attachés à la cause de l’ union fédérale de nos peuples !) Parlons et dialoguons, non pas dans des co