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e, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’
union
dans la diversité. Maintenant que voici définies, ou plutôt illustrée
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e il se comprend lui-même ; ne point rechercher l’
union
dans le compromis, mais dans cette clarté rigoureuse que répand seule
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s accommodent leurs exigences aux nécessités de l’
union
, et c’est le nouveau fondement de notre fédéralisme. Ainsi l’on a pas
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ut d’abord une définition. Fédération veut dire :
union
dans la diversité. Le mot fédéralisme, en Suisse romande surtout, a p
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gion. Le mot allemand de Bund n’insiste que sur l’
union
. Quand je parle de fédéralisme et de fédération, j’entends à la fois
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fédéralisme et de fédération, j’entends à la fois
union
et autonomie des parties qui s’unissent ; à la fois « un pour tous »
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et même de manifeste. Par la force des choses, l’
union
paisible de deux religions, de quatre langues, de 22 républiques, et
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n de « races » en un État qui les respecte, cette
union
prend l’allure à la fois d’un antiracisme déclaré et d’un antinationa
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ersités reconnues et légitimées que se nouent les
unions
fécondes. L’union fédéraliste est un mariage, et non pas un alignemen
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t légitimées que se nouent les unions fécondes. L’
union
fédéraliste est un mariage, et non pas un alignement militaire et géo
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les et de la part des campagnes. Il se peut que l’
union
déjà réalisée entre la France et l’Angleterre soit le germe d’une féd
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ites ou « Suisses de l’étranger »39, directeurs d’
unions
universelles, secrétaires d’alliances œcuméniques, membres du Comité
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où le rouge est couleur d’Empire, c’est-à-dire d’
union
des nations, et la croix signe de salut. Gardienne des cols par où s’
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la connaissance très vivante d’une autre espèce d’
union
, sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à peu près intell
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ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’
union
centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
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son sens étymologique. (fœdus = traité, serment,
union
.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég