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otre siècle : il peut offrir le modèle même d’une
union
mondiale dans le respect des diversités nationales. Que dis-je, il pe
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ompatibles avec l’ordre chrétien qui présuppose l’
union
dans la diversité. Toutes les doctrines unitariennes, cherchant à éta
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compatibles avec l’ordre chrétien, qui implique l’
union
et non l’uniformité et qui respecte la diversité des dons, la diversi
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soit religieux ou national), le tout en vue de l’
union
(fédérale ou œcuménique) de ces vocations dans un ensemble beaucoup p
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— le corps et ses membres ; ne jamais chercher l’
union
en neutralisant les différences et les particularités, mais au contra
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aire au but visé. Et en effet, dans ce plan-là, l’
union
n’aurait puan s’opérer que sous la forme d’un compromisao, ou par l’a
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’ailleurs surestimées, mal vuesas. L’obstacle à l’
union
, ou tout au moins à la compréhension, viendra dans ce cas de l’absenc
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omaine sera dite en français, je ne dis pas que l’
union
sera faite, mais je dis que le peuple des Églises verra mieux que ce
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les causes, les modes, les buts et la durée de l’
union
d’un homme et d’une femme en un couple fondant une famille. Cette éve
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utionnaire ! » S’exclamait naguère Jean Guéhenno (
Union
pour la Vérité, 22 mars 1930). À quoi un socialiste allemand, le prof
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l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’
union
des chrétiens en Christ, cette foi pouvant être connotée par le rejet
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st dans la mesure exacte où elles ont douté d’une
union
par essence incontrôlable, qu’elles ont perdu leur communion réelle.
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iens le soin de définir la doctrine positive de l’
union
au nom de laquelle doit être condamnée l’hérésie unitaire. Doctrine d
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pître aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’
union
, précisément, que Paul établit avec le plus de force la légitimité de
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moi sommes un », qui établit le modèle même de l’
union
dans la distinction des personnes ? Posons ces questions-là aux docte
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vocations divines n’est pas une imperfection de l’
union
, mais sa vie même. Un deuxième trait, complémentaire d’ailleurs, doit
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it en profondeur. En d’autres termes, l’appel à l’
union
ne s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque Église, mais à leu
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tion ou leur doctrine particulière. Au principe d’
union
transcendant qui assure la permanence de l’Église universelle, certai
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t antiœcuménique. Sa volonté d’unité s’oppose à l’
union
. Elle transforme la diversité en division. Alors il y a scandale, et
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ouve la position spirituelle centrale qui fonde l’
union
dans la diversité, nous avons à chercher la position philosophique ce
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la même position centrale définissant à la fois l’
union
et la diversité, l’engagement et la liberté, les droits du tout et le
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ieux qu’un équilibre, il y a un principe vivant d’
union
. Là où est l’Esprit, là est la liberté, mais là aussi est la vraie co
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e les diversités régionales sont la vie même de l’
Union
. Mais par l’organe central qui lie toutes les régions, il ménage un r
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nne se placer à l’avant-garde du mouvement vers l’
union
, nous ne verrons l’œcuménisme se réaliser avec puissance que dans l’é
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paraissait donc irréversible. Le mouvement vers l’
union
fédérale, déclenché au lendemain de la guerre par les congrès de Mont
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l’allure d’une mutation brusque — mutation vers l’
union
dans la diversité, au-delà de l’ère des volontés d’uniformité fanatiq
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r au premier succès que représenterait pour lui l’
union
fédérale de toutes les confessions chrétiennes. Il faudra que cette u
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les confessions chrétiennes. Il faudra que cette
union
, à son tour, renoue au moins le dialogue avec les deux autres grandes