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ions comme le Conseil des communes d’Europe, ou l’
Union
des villes et des pouvoirs locaux, qui me semblent vouloir trop s’en
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uer seule. De même, c’est la force résultant de l’
union
fédérale qui permet de garantir les libertés des entités fédérées. »
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s de la culture européenne 16 janvier 1969 « L’
union
n’a pas supprimé la différence des natures, bien plutôt elle les a sa
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e unité de base existe, sur laquelle fonder cette
union
. Il s’agit de l’unité d’une culture, de laquelle participent tous les
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péenne. On ne peut penser à une fédération, à une
union
des Européens que parce qu’il y a une unité de base, qui est une unit
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unité culturelle, sur laquelle on peut bâtir une
union
, librement constituée. L’unité, c’est quelque chose qui est donné, ou
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ue chose qui est donné, ou qui n’est pas donné. L’
union
, c’est quelque chose que l’on fait, qui résulte d’une action délibéré
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différenciée se traduit tout naturellement par l’
union
dans la diversité, et cette forme d’union porte un nom bien connu dan
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t par l’union dans la diversité, et cette forme d’
union
porte un nom bien connu dans l’histoire des régimes politiques, c’est
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nce : fédéralisme. Je ne vois pas d’autre forme d’
union
qui réponde à la double exigence du respect des diversités et de l’in
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mies seront perdues une à une, si nous refusons l’
union
qui ferait leur force ; mais en retour, cette union ne saurait être a
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ion qui ferait leur force ; mais en retour, cette
union
ne saurait être acquise au prix des libertés qu’elle est censée servi
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ure pluraliste, on ne peut fonder sur elle qu’une
union
fédérale. c. Avec l’introduction suivante des éditeurs : « La cult
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l’élément principal sur lequel peut se fonder une
union
européenne. Aux apports d’Athènes, de Rome, de Jérusalem soulignés pa
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ractéristique de la culture européenne : l’idée d’
union
sans fusion ni séparation, la dialectique toujours ouverte de l’Un et
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tue l’unité de base sur laquelle peut se fonder l’
union
des Européens dans leur diversité, car cette culture, une, est aussi
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lors que l’unité de la culture nous est donnée, l’
union
est de l’ordre du faire, de la tâche à accomplir. Le fédéralisme corr
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adoxe de la culture européenne une et diverse : l’
union
y est conçue non pour unifier ou uniformiser, mais pour sauvegarder e
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diversité réelle. À l’extérieur, il refuse toute
union
, alléguant une indépendance et une souveraineté absolues aussi peu dé
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: 1. La tribu est une totalité. 2. Son principe d’
union
est d’abord religieux. 3. Son territoire est considéré comme le centr
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ppose ou croit devoir s’opposer à toute formule d’
union
, et surtout de fédération, je pense que leur opposition est motivée p
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Pourquoi les nationalistes s’opposent-ils à toute
union
de l’Europe, et notamment à la forme fédérale qu’ils tiennent pour un
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n’est presque aucune de ces mesures d’urgence, d’
union
sacrée, prise par l’État, qui ait été rapportée une fois que la paix
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encore assez de force pour pouvoir s’opposer à l’
union
des pays européens. Aucun de nos États-nations européens n’est assez
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re assez solide pour résister à d’autres formes d’
union
imaginables, notamment à la forme fédérale. 22 novembre 1968 Le premi
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sans atteintes, préparant la guerre et refusant l’
union
dans un esprit de clocher en somme très féodal. Par bien des aspects,
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ontières, la course aux armements, pour freiner l’
union
européenne pourtant rendue plus nécessaire encore par la situation de
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niformisation, s’oppose le fédéralisme basé sur l’
union
volontaire des communautés et des régions gardant leurs spécificités
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tte diversité n’est pas seulement un obstacle à l’
union
, mais qu’elle est absolument valable en soi, et précieuse. Autant on
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e en soi, et précieuse. Autant on peut dire que l’
union
de nos pays est nécessaire pour le salut de chacun d’eux et le salut
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n bien, peut-être même pour la sauver, mais cette
union
ne saurait être obtenue par le sacrifice des diversités, car si c’éta
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considérée comme un ensemble, comme une possible
union
politique, présente les deux conditions de base nécessaires à toute f
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rmes de culture ; d’autre part, un besoin vital d’
union
, ne fût-ce que pour sauver ces diversités, qui sont chacune trop peti
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e siècle est sans discussion possible celui de l’
union
de l’Europe. Mais le principal obstacle à cette union est dans l’exis
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n de l’Europe. Mais le principal obstacle à cette
union
est dans l’existence des États-nations et dans l’attachement des homm
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ril 1970 Rien n’est plus hostile à toute espèce d’
union
, tant soit peu sérieuse ou sincère, que cet État-nation qui, par aill
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c’est sur la base de cet obstacle radical à toute
union
que l’on s’efforce, depuis vingt-cinq ans, d’unir l’Europe ! Voilà qu
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pas avancé d’un centimètre en direction de notre
union
politique. Entre l’union de l’Europe et les États-nations sacralisés,
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re en direction de notre union politique. Entre l’
union
de l’Europe et les États-nations sacralisés, entre une nécessité huma
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rande animation de leurs échanges. La politique d’
union
et la régionalisation sont liées. 22 avril 1977 Ce qui est le plus pr
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identités diverses et par la solidité du pacte d’
union
qu’il propose. 4. Les finalités de la fédération européenne 22
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ed we fall », ou en latin « Viribus unitis », « L’
union
fait la force » ; dans toutes les langues existent des proverbes qui
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ation traditionnelle, « restez unis, vivez dans l’
union
», veut dire en même temps « vivez en paix ». 10 juin 1977 Au lendema
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avril 1967 Il est clair que l’absence actuelle d’
union
rend pratiquement impossible le plein développement économique de l’e
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soit individuelle, soit globale ; que l’absence d’
union
empêche nos pays de jouer un rôle au plan mondial ; et qu’enfin elle
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t sur le plan de la technique. Alors que, par une
union
des vingt-cinq pays à peu près qui forment l’Europe (donc non compris
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iteurs : « Selon Denis de Rougemont, la base de l’
union
des Européens n’est pas l’économie, comme le croyaient les fondateurs
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ais complémentaires. C’est pourquoi tout projet d’
union
qui sacrifierait les diversités au profit de l’uniformisation est inc
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st plus elle-même), le nationalisme (qui refuse l’
union
durable et n’accepte de coopérer que pour des raisons tactiques répon
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en politique, de l’autonomie d’un groupe et de l’
union
nécessaire pour sauver cette autonomie, de la liberté et de la partic
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mation d’un régime de type fédéral : la volonté d’
union
, des diversités réelles à sauvegarder, et un pacte juré librement. Ma
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ne fête exactement de l’unité, plus même que de l’
union
. C’est la fête du mouvement unitaire français. À ce moment-là, « fédé
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ode de la Révolution est dominée par l’éloge de l’
union
fédérale, les projets d’organisation fédérative de la France et même
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ens du fédéralisme, c’est-à-dire précisément de l’
union
dans la diversité, je dirais presque de l’union pour la diversité. On
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l’union dans la diversité, je dirais presque de l’
union
pour la diversité. On dit trop facilement l’union dans la diversité ;
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union pour la diversité. On dit trop facilement l’
union
dans la diversité ; c’est devenu une formule qu’on emploie sans bien
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qu’elle entraîne, et il me semble que si on dit l’
union
pour la diversité, on cerne la question de beaucoup plus près. 17 fév
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précise, en Europe, il nous faut décider si notre
union
aura pour but la puissance collective ou la liberté des personnes. Si
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dilemme puissance ou liberté comme finalités de l’
union
. Mais je ne crois pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne crois
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u contraire, de rechercher la meilleure formule d’
union
sauvegardant chacun des termes. Ainsi, le pacte fédéral est un acte v
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est à la fois l’autonomie des communautés et leur
union
; il suppose quelque chose qui distingue ces communautés, et quelque
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nous avons exactement le même type de paradoxe, d’
union
de deux choses que la logique juge incompatibles. Il y a donc une esp
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me, c’est la liberté des personnes, obtenue par l’
union
(que j’oppose toujours à l’unité) volontaire dans le respect des dive
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ont correspondu à une politique de liberté par l’
union
, tandis que toutes les réalisations étatiques, nationales, royaumes n
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les principes exactement inverses, c’est-à-dire l’
union
obtenue par l’association libre et jurée des diversités reconnues et
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Puissance Tension Dialectique Diversité dans l’
union
Réduction à l’homogène Statisme Rationalisme Unité des parties égalis
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nheur des termes comme fédération, confédération,
union
, unification, intégration, États-Unis, communauté, supranationalité,
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ser nommément, expressément, deux étiquettes de l’
union
, comme supranationalité et fédération ou simplement coopération. Qu’i
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z-vous établir, adopter, discuter une politique d’
union
, si vous n’êtes pas capable de lui donner un nom ; un nom qui la dist
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elui du fédéralisme qui n’uniformise pas, car les
unions
volontaires supposent l’existence de différences entre les parties et
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ment toute discussion sérieuse sur les formules d’
union
européenne et montre l’utilité d’établir un lexique des termes politi
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le forme politique bien définie : le fédéralisme,
union
dans la diversité, union pour sauvegarder les diversités des membres
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éfinie : le fédéralisme, union dans la diversité,
union
pour sauvegarder les diversités des membres qui s’unissent. Le thème
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es membres qui s’unissent. Le thème des projets d’
union
de l’Europe vient également converger avec tous les autres dans le tr
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ts-nations actuels qui sont les obstacles à toute
union
; on unira l’Europe sur la base des régions telles qu’elles sont en t
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versités, stimuleront entre elles des processus d’
unions
volontaires, consenties précisément pour garantir les autonomies et r