1 n d’amour est très importante ; c’est l’amour qui unit les personnes. L’État-nation ne déclenche pas d’amour pour ses bureau

2 solue, elle reste incapable, par définition, de s’ unir  : on ne base pas une union sur cet obstacle par excellence à toute un

3 la reconnaissance du fait qu’elles ne pourront s’ unir que sur une base véritablement commune, la culture, et non pas sur l’

4 La Suisse ne peut pas subsister si l’Europe ne s’ unit pas. 2. L’Europe ne peut s’unir que selon la formule d’une fédération

5 si l’Europe ne s’unit pas. 2. L’Europe ne peut s’ unir que selon la formule d’une fédération (à cause de ses diversités et p

6 ce propos, que le pacte du « Grütli », déjà cité, unissait des communes frontières de Schwyz, Uri et Unterwald, et que c’est par

7 tre sous la dent. Ils continuaient de répéter : «  Unissons -nous, unissons-nous ! » Mais ce n’était pas le moyen de nourrir une a

8 t. Ils continuaient de répéter : « Unissons-nous, unissons -nous ! » Mais ce n’était pas le moyen de nourrir une action précise,

9 par des catastrophes, mais par la nécessité de s’ unir pour résister à une attaque venue de l’extérieur, le temps de la repo

10 ouvrière et des autres couches de travailleurs s’ unissent dans le Parti communiste de l’URSS, qui est l’avant-garde des travail