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S’il s’agit de l’Europe des États plus ou moins «
unis
» ou « confédérés », dont les ministres nous répètent depuis trente a
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on triestine présente la caractéristique unique d’
unir
au niveau régional des ressortissants d’un pays de l’Est et de deux p
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re occidentale, et qui conduit en tous domaines à
unir
dans le respect et la force du divers, qu’il s’agisse de sagesse ou d
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nsidèrent l’Europe comme quelque chose qu’il faut
unir
d’abord. Ni l’un ni l’autre des debaters ne semble avoir imaginé que
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nt irréversibles et donc mortels. L’Europe doit s’
unir
pour survivre. Elle doit survivre pour que l’humanité ne soit pas ent
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là-dessus, de nous occuper surtout de ce qui nous
unit
, plutôt que de ce qui nous sépare. Je vous avouerai tout de suite que
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de colloques. Mais, en fait, chercher ce qui nous
unit
est, dans le cas présent, la seule voie praticable. Il nous faut trou
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e servira absolument à rien. Chercher ce qui nous
unit
, surtout dans le domaine de la culture, qui est d’abord une question
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on de l’Europe se définit clairement. Elle est d’
unir
ses peuples selon leur vrai génie, qui est celui de la diversité, et
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1950 doit être la date d’un second serment qui l’
unira
. Il est très difficile d’espérer que jamais les gouvernements europée
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ture des valeurs qui méritent que les Européens s’
unissent
pour les défendre et les illustrer : ce fut la table ronde de l’Europ
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C’est à elles de choisir avec qui elles veulent s’
unir
, se fédérer, se confédérer, comme les Suisses l’ont fait de tout temp
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être mangé à la sauce des États-nations, on ne s’
unira
jamais. Regardez les difficultés actuelles dans le Marché commun : pe
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s 230, total 490 millions. Les Européens, s’ils s’
unissent
tous, non seulement ceux de l’Ouest, mais ceux de l’Est, Russes exclu
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topique de penser que les pays de l’Est peuvent s’
unir
à l’Europe ? Ils ne demandent que ça. J’en ai des preuves quasi quoti