1 te ; 2. Or, l’Europe que l’on tente aujourd’hui d’ unir est d’abord une entité culturelle ; 3. Il en résulte que l’on ne doit

2 s. Il est évident que des peuples, ne songent à s’ unir que s’ils ont en commun certains traits qu’ils tiennent pour essentie

3 erre, j’avais compris qu’il était indispensable d’ unir les Européens. Non seulement nous-mêmes, mais les Américains aussi, a

4 pense, avec Robert Schuman, qu’il est possible d’ unir nos pays pour cette raison littéralement fondamentale qu’une unité de

5 à penser sincèrement qu’ils ne pourront jamais s’ unir , même s’il le faut, du fait qu’ils n’ont en somme rien de commun ! Un

6 récis et sans échappatoire possible désormais : s’ unir , au-delà de nos fausses souverainetés, pour préserver nos vraies dive

7 union que l’on s’efforce depuis vingt-cinq ans d’ unir l’Europe ! Voilà qui explique suffisamment, je crois, pourquoi l’on n

8 nations ! Vous savez bien que vous ne pourrez pas unir l’Europe en proclamant votre attachement aux causes mêmes de sa divis

9 nt à la fois semblables et différents, séparés et unis . C’est la formule de tout fédéralisme. Tension entre deux pôles. Vous