1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 nt : quelle est donc cette Europe que vous voulez unir pour la sauver ? Je réponds que ce n’est pas celle des turbines, mais
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
2 intéresseraient l’Europe et les vrais moyens de l’ unir . Inversement, les donateurs virtuels proposent à des instituts de cul
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 . Ce fut le dernier mot du rapport de Toynbee : «  Unissons l’Europe maintenant ! Nous n’avons pas de temps à perdre. » Pourtant,
4 e a formulé les buts communs susceptibles de nous unir . Car ce ne sont pas seulement leurs origines, mais les buts qu’ils re
5 ant la contradiction apparente entre l’exigence d’ unir nos pays, et celle de sauvegarder les diversités qui ont fait la rich
6 mortelles. La première et la principale raison d’ unir l’Europe, je la vois moins dans nos querelles internes que dans le je
7 : il n’est pas exact que nos nations, en vue de s’ unir , doivent sacrifier ce qui subsiste de leur souveraineté nominale. Qua
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
8 jours, à Berlin, Molotov a bien vu que l’Europe s’ unirait d’autant mieux qu’il s’attaquerait de front à son union ; qu’elle ven
9 ’expansion communiste.) Mais l’Europe ne pourra s’ unir en temps utile si le parlement français repousse la CED, et avec elle
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
10 vait pas pour but de convertir la société, mais d’ unir en un corps les convertis. Et c’est accessoirement qu’elle a pu contr
6 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
11 ncontrer à Calicut les Égyptiens et les Chinois «  unis comme des compères »57. Préfiguration de Bandung, avant toute entrepr
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
12 e l’Europe existe pour eux, que la nécessité de s’ unir les concerne et que l’avenir de cette union s’inscrit dans les donnée
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
13 nion nécessaire. Ainsi, à la question : « Faut-il unir l’Europe ? », on peut répondre : 1. — Non, car seules nos nations exi
14 le faire qu’à coups de bâton. D’autres raisons d’ unir l’Europe sont apparues, hors d’Europe, à l’échelle mondiale. Et trois
9 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
15  attrapé ». À cause de lui, nous refusons de nous unir , tandis qu’à cause de lui les Arabes se fédèrent. Différents ou contr
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
16 le fanatisme de l’intégration. Gauche et droite s’ uniraient pour rejeter au nom de leurs traditions sacrées toute tentative de li
11 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
17 es exile de la communauté et les consume sans les unir vraiment, on aura reconnu les grands moments du Mythe. L’auteur en a-
18 y voir une préfiguration de l’amour interdit qui unira ses héros : Ulrich et Agathe, frère et sœur. Admirable coïncidence, q
19 ent étaient bien près de se détacher d’eux et les unissaient déjà dans leur imagination, comme la tempête, devant les vagues, crav
20 auté d’âme, l’abîme qui les séparait du monde les unissait . Tous deux avaient la même aversion pour tout ce que l’homme contempo
12 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
21 grave de notre société, c’est que nous ne sommes unis dans la poursuite d’aucun objectif fondamental… Nous parlons de nous-
13 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
22 le, et qui a besoin de vous, tant pis pour vous ! Unissez vos intelligences, mais aussi vos cœurs dans la recherche des conditi
14 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
23 i l’a ainsi enthousiasmé, il aurait dû pourtant s’ unir pour la vie. Mais l’existence l’énonce autrement. Tout cela signifie
24 son cœur, « c’est alors seulement que nous sommes unis  ».) Régine s’est mariée ailleurs. Le dernier appel qu’il ait tenté de
15 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
25 st parler un langage européen. Or l’Europe doit s’ unir pour durer, j’entends pour continuer à exercer demain sa vocation mon
26 fédérée reste ainsi la seule solution praticable. Unir dix-neuf États à l’Ouest (plus sept à l’Est un jour ou l’autre) en un
27 ution a la moindre chance de succès, s’agissant d’ unir nos pays, hors une solution fédérale. Ici, l’exemple de la Suisse… On
28 s citoyens se connaissent mutuellement », mais qu’ unissent les liens d’une « commune législation… et subordination au corps de l
29 nalistes et coloniales, seule la Suisse réussit à unir ses cantons selon la maxime impériale de l’union dans la diversité. P
30 et la police d’État les encadrent alors, sans les unir ni vraiment les organiser. 3°) La planification se révèle plus effica
16 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
31 ines, je n’avais cessé d’imaginer une action pour unir l’Europe, si jamais il devenait possible d’y rentrer. Pourtant, je me
32 ill. Il déclare d’entrée de jeu que l’action pour unir l’Europe doit s’appuyer sur le plan Marshall, et qu’une intégration é
17 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
33 union que l’on s’efforce depuis vingt-cinq ans d’ unir l’Europe ! Voilà qui explique suffisamment, je crois, pourquoi l’on n
34 nations ! Vous savez bien que vous ne pourrez pas unir l’Europe en proclamant votre attachement aux causes mêmes de sa divis
35 lpes. Décréter que le Rhin sépare et que le Rhône unit donne la mesure. bg. « Dépasser l’État-nation », Preuves, Paris, n°