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ut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’
unir
. Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérieures. Et surtout ils
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hacun de nos pays, il faut donc commencer par les
unir
. Et si nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il nous
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t ce n’est pas tout : les mots « et sa », qui les
unissent
, ne vont pas de soi, dira-t-on… Certes, on peut ergoter à l’infini su
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n ne peut remplacer. Qu’avons-nous fait pour nous
unir
? Dans le domaine politique, nous avons Strasbourg. Ce n’est pas beau