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la volonté d’unifier qui provoque leur refus de s’
unir
, c’est elle qui excite en eux la volonté morbide de s’enfermer dans l
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plus parler d’union, puisqu’il n’y a plus rien à
unir
. D’autre part, il déclare souveraine la nation unifiée de la sorte, q
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irréductible. Le fédéralisme, au contraire, veut
unir
et non pas unifier. Et justement parce qu’il respecte à l’intérieur d
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ce des Seize. L’URSS s’oppose à toute tentative d’
unir
les nations de l’Europe : c’est qu’elle veut diviser pour régner. Les
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te ouvertement contre elle, l’opinion et l’État s’
unissent
pour la réduire, et cela au nom d’un idéal qui ne change pas tous les
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n. Pour les uns, fédérer veut dire simplement : s’
unir
. Pour les autres, être fédéraliste veut dire simplement : rester libr
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sont en réalité beaucoup plus solidaires et plus
unis
que leurs gouvernements ne pourront jamais l’être, ils s’apercevront
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ratiquement indéfendable. Je m’explique. Tenter d’
unir
en une alliance défensive nos États-nations tels qu’ils sont, tenter
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nœuvre antirusse. Ils ont raison, dans le sens qu’
unir
l’Europe c’est la mettre à l’abri de la misère et de l’anarchie natio
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est pas sur un compromis que les partis doivent s’
unir
pour faire l’Europe. C’est sur la volonté de réaliser chacun leur voc
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son prestige. Les trois motifs principaux de nous
unir
: sécurité, prospérité, et liberté, se conditionnent réciproquement.
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ls éveillaient en lançant leur appel à l’union. S’
unir
pour quoi ? Et sur quelles bases ? Et pour quel bien que tous les hom
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continuer longtemps si l’Europe n’arrive pas à s’
unir
? Pourra-t-on créer cette union autrement que toutes affaires cessant
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pacte sujet à caution, il est vain d’essayer de s’
unir
si l’on n’a pas d’abord rendu leur sens commun aux mots-clés du débat
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xpression ; Considérant que les efforts pour nous
unir
doivent être soutenus et vivifiés par un réveil de la conscience euro
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ion de l’Europe se définit clairement. Elle est d’
unir
ses peuples selon leur vrai génie, qui est celui de la diversité, et