1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
1 sonne du chrétien, dans son équilibre en tension, unit le meilleur de Rome et de la Grèce, elle est aussi menacée, dans le m
2 dans la Personne du Dieu-homme les deux natures s’ unissent pleinement et sans conflit, il n’en va pas ainsi du spirituel et du c
3 aineté nationale — qui l’empêchent à la fois de s’ unir pour sa défense et de rallier l’ensemble de ses forces sociales autou
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
4 vait pas pour but de convertir la société, mais d’ unir en un corps les convertis. Et c’est accessoirement qu’elle a pu contr
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
5 utorité du plan Schuman, et l’Europe tentait de s’ unir . Mais nos deux écrivains, fermement convaincus qu’il fallait « être d
6 tique sur l’Europe qu’ils voulaient empêcher de s’ unir , et sur l’Asie dont Lénine aurait dit : c’est le plus court chemin ve
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
7 re qui ménage mieux nos chances de voir un jour s’ unir la Voie et l’Aventure. 88. Est-il besoin de rappeler ici les œuvre
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
8 nt trahie, dès lors qu’elle est mise au défi de s’ unir pour revivre ou de descendre aux catacombes de l’Histoire. Essayons d
9 pagé dans d’autres peuples, y a pour effet de les unir — contre l’Europe. Devant vingt-cinq petites nations qui s’obstinent
10 le succès, prochain ou retardé, de l’action pour unir l’Europe — il est beaucoup trop tôt pour en juger, après quelques ann