1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 s vitales dont l’Europe dispose encore, si elle s’ unit , et les secrets qu’elle reste seule à détenir, d’une civilisation bie
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
2 III. L’Europe s’ unit Les organes vitaux de notre société, pris un à un, me paraissent do
3 de l’Europe signifie, pratiquement : volonté de s’ unir . Remarquez que cette thèse ne va pas de soi. Il peut sembler qu’il y
4 in d’union. En effet, si tout va bien, pourquoi s’ unir  ? Les peuples n’éprouvent ce besoin qu’en temps de crise, pour réagir
5 ste aux différentes solutions proposées. L’idée d’ unir ou de fédérer l’Europe n’est pas née d’hier. Elle remonte très précis
6 ; et c’est pourquoi nous devons tout d’abord nous unir entre nous ; car, nous autres Européens, nous devons être considérés
7 déclaration commune, constatant la solidarité qui unit les peuples en lutte contre l’oppression nazie. Ils désignent les but
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
8 ces de l’Europe Donc l’Europe est en train de s’ unir , nous avons vu pour quelles raisons, à la fois séculaires et modernes
9 perdu leurs empires, que l’Europe s’est mise à s’ unir . Les dates de la décolonisation successive du Proche-Orient, de l’Ind
10 t, tel que le représentent l’Europe en train de s’ unir , et les États-Unis. Il est courant d’entendre dire que l’Occident est
11 e nos forces — et nous sommes en bon train de les unir  — mai non pas une absence de force potentielle. Et ces crimes, qui fu
12 n, si l’Europe, d’où le mal est venu, réussit à s’ unir librement, achevant ainsi son aventure et faisant le monde en se fais