1
mieux assurer leurs libertés particulières. Ils s’
unissaient
, en somme, pour rester différents ! Leur solidarité avait pour raison
2
oisins tel que Schwyz, aussitôt tous les autres s’
unissent
contre Zurich, qui devient de ce fait le plus faible. Si bien que l’a
3
ent former la Confédération des treize cantons, s’
unirent
bel et bien pour défendre leurs libertés traditionnelles, mais c’étai
4
de petits seigneurs des campagnes environnantes s’
unissent
très tôt aux hommes nouveaux issus de la classe des marchands et arti
5
i estiment que notre continent n’est pas mûr pour
unir
ses vingt-cinq nations. On déclare que la grande Europe ne saurait se
6
s des vingt-deux cantons souverains de la Suisse,
unis
par la présente alliance [suit l’énumération des États], forment dans
7
majeur pour l’Europe. Car l’Europe qui tente de s’
unir
sera fédérale ou ne sera pas. Non que je tienne le fédéralisme pour u
8
s vaudois ou valaisans ; mais tous sont cependant
unis
sous le même drapeau. Près d’un siècle auparavant, Gottfried Keller,
9
st parler un langage européen. Or l’Europe doit s’
unir
pour durer, j’entends pour continuer à exercer demain sa vocation mon
10
fédérée reste ainsi la seule solution praticable.
Unir
19 États à l’ouest (plus 6 à l’est un jour ou l’autre) en un corps po
11
ution a la moindre chance de succès, s’agissant d’
unir
nos pays, hors une solution fédérale. Ici, l’exemple de la Suisse… On
12
s citoyens se connaissent mutuellement », mais qu’
unissent
les liens d’une « commune législation… et subordination au corps de l
13
nalistes et coloniales, seule la Suisse réussit à
unir
ses cantons selon la maxime impériale de l’union dans la diversité. P
14
et la police d’État les encadrent alors, sans les
unir
ni vraiment les organiser. 3. La planification se révèle plus efficac