1
hacun de nos pays, il faut donc commencer par les
unir
. Et si nous voulons sauver la paix, ou plutôt faire la paix, il nous
2
urvivre, et sauver la civilisation, que si elle s’
unit
. « D’ici vingt-cinq ans, disait récemment la reine Juliana, nous vivr
3
rope disposerait encore à la seule condition de s’
unir
— tous les traités et pactes que l’on pourra conclure seront insuffis
4
our tous ceux qui ont compris que l’Europe doit s’
unir
, mais que le développement de l’esprit européen reste la condition pr
5
es plus urgentes et les plus sages proposées pour
unir
l’Europe, bien qu’acceptées par la majorité, s’enrayent mystérieuseme
6
nt elle peut disposer — à la seule condition de s’
unir
. Une prise de conscience. Un réveil. Telle paraît donc la condition
7
t nous avons formulé les buts communs qui peuvent
unir
les Européens. Car ce sont beaucoup moins leurs origines que les buts
8
uient dans l’optique de l’Europe que nous voulons
unir
; cette Europe qu’il s’agit de faire vivre tout d’abord dans l’esprit
9
retrouverons toujours le même type de problèmes :
unir
sans uniformiser, maintenir les différences au sein d’une harmonie, f
10
iers le général de Gaulle), ils ont essayé de les
unir
, et ils constatent, évidemment, « qu’elles ne sont pas encore prêtes
11
demment, « qu’elles ne sont pas encore prêtes à s’
unir
». Or, il est clair — il devrait être clair — qu’en tant qu’États sou
12
ouverains les nations ne seront jamais prêtes à s’
unir
! Europa : Il fut un temps où la fédération de l’Europe semblait à p
13
d indispensable. La région Si donc on veut
unir
l’Europe, il faut partir d’autre chose que de ses facteurs de divisio
14
e Presque tout ce qui coopère, se fédère ou s’
unit
, en Europe, qu’il s’agisse de savants, de festivals de musique, d’Égl
15
de syndicats, de sports, coopère, se fédère ou s’
unit
en dehors des initiatives de l’État, par-dessus, par-dessous et à tra