1 travail l’enrichissait. Aujourd’hui, l’ouvrier d’ usine bénéficie des soins jaloux de l’État. Encore un peu, et la technique

2 du xixe et les travailleurs à la chaîne dans les usines américaines. Car eux seuls ont subi physiquement, et peut-être encore

3 contre le remède… L’automatisation complète de l’ usine , loin d’augmenter le mal si longuement déploré par ceux qui ne le sub

4 étendus. Ils sont littéralement incalculables. L’ usine sans ouvriers, produisant jour et nuit sous la seule surveillance d’u

5 e la révolution donnant le pouvoir aux ouvriers d’ usine . C’est ainsi le développement plus poussé de la technique, non l’acti

6 voit pour les masses ouvrières entassées dans les usines et condamnées à la misère et à l’envie, un avenir exactement totalita

7 monde entier s’européanise dans ses apparences : usines , machines, costumes, voirie, transports, urbanisme et architecture. M

8 monde entier s’européanise dans ses apparences : usines , machines, costumes, voirie, transports, urbanisme et architecture :

9 monde entier s’européanise dans ses apparences : usines , machines, hygiène, costumes, transports, urbanisme et architecture.

10 d Fabricant. Ces masses humaines dans les grandes usines ne peuvent pas être éternellement abandonnées à leur pauvreté et à le

11 ais de la supprimer, à la limite. L’utopie de « l’ usine sans ouvriers » commence à se réaliser en Occident. Et l’on s’aperçoi

12 isir ! La réduction du temps de travail moyen à l’ usine ou au bureau, obtenue depuis trois quarts de siècle, est d’environ de

13 e du Gurten. Au-dessous, des cités-jardins et des usines . Plus loin la ville, la longue façade verdâtre du Palais fédéral sur