1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
1 », le sang des autres, qui cimente l’édifice de l’ Usine soviétique, et donne la preuve démente de la réalité des utopies au n
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
2 l’inverse ! Cependant, l’existence d’innombrables usines , marques, salons, dividendes et records, donne une telle consistance
3 e, dans sa Philosophy of Manufactures célèbre les usines « qui surpassent en nombre, en valeur, en utilité et en noblesse arch
4 olétaires qui ont crevé de misère autour de leurs usines pendant tout le siècle dernier, dépasse sans doute celui des tués des
5 ue eût été justifiée, cent ans plus tôt, contre l’ usine ignoble où l’ouvrier pouvait dire par la bouche d’un poète de l’époqu
6 ement des travailleurs serviles par des robots. L’ usine sans ouvriers, réalité prochaine, est la solution du problème de « l’
7 . Celui dont le rôle sera d’administrer l’immense usine sans ouvriers régnera souverainement sur l’absence. Mais les fameuses
8 u. Ils sont pourtant les ancêtres de nos robots d’ usine , indispensables pour manipuler les substances radioactives, par exemp
9 ndement, comme à la répartition des produits, des usines automatisées devrait augmenter dans une proportion presque infinie ;
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
10 r la technique. Sur quoi le mandarin visitant nos usines  : quand vous aurez tout le temps, qu’en ferez-vous ? (Mais lui, s’il