1
e pourrait tout sauver, vous vous lancez dans une
utopie
. Mais vous vous défendez, je crois, d’être un utopiste ? Je suis utop
2
l’échelle des régions est une réalité vécue. 3. L’
utopie
, c’est le système dans lequel on vit ? La véritable utopie, justement
3
’est le système dans lequel on vit ? La véritable
utopie
, justement, c’est la folie de la croissance industrielle ! Cette fuit
4
e dans cette proposition (qui n’est déjà plus une
utopie
dans la mesure où des actions sont entreprises et où des résultats so
5
tée indéfiniment et en progression constante. Une
utopie
totale ! Ça durera bien jusqu’à ma retraite ! Nous le savons, il
6
enis de Rougemont, cependant, ne verse pas dans l’
utopie
européenne. Il sait que l’Europe n’est pas la solution magique à tous
7
t vu l’importance historique — c’était encore une
utopie
voilà dix ans. C’est devenu l’un des problèmes capitaux d’aujourd’hui
8
t vu l’importance historique — c’était encore une
utopie
voici dix ans. C’est devenu l’un des problèmes capitaux d’aujourd’hui
9
es d’histoire, d’échanges de biens, de chartes, d’
utopies
(Fourier et Proudhon d’un côté, Bakounine et la Fédération jurassienn
10
grand juriste Fernand Dehousse un cas pendable d’
utopie
fédéraliste, dont il n’eût pas ignoré que j’étais l’auteur. Le destin
11
d’un lieu sans précédent (étymologiquement, d’une
utopie
, d’un lieu de nulle part, d’un non-lieu) chacun doit inventer son che
12
ant reléguée du même coup au décrochez-moi-ça des
utopies
. La réflexion sur les limites nous a conduits à nous poser des questi
13
mie relative. Constant dénonce ici, par avance, l’
utopie
que l’on opposera, au xxe siècle, sous le nom de « confédération »,
14
ie qui veut se faire passer pour le tout. C’est l’
utopie
naissante de la souveraineté nationale absolue. « La tunique sans cou
15
umanité par l’ethnographie et l’archéologie ; à l’
utopie
des Thomas More et des Campanella, le futurisme des arts et de la tec
16
is n’est-ce pas finalement utopique ? La pire des
utopies
est celle du prétendu « réalisme » qui mesure les chances de survie d
17
, mise à l’abri des « troubles mentaux » et des «
utopies
délirantes » (c’est-à-dire du non-conformisme politique ou social dan
18
, mise à l’abri des « troubles mentaux » et des «
utopies
délirantes » (c’est-à-dire du non-conformisme politique ou social dan
19
, mise à l’abri des « troubles mentaux » et des «
utopies
délirantes » mais aussi du lyrisme, de la poésie et de la créativité
20
de pire menace pour le mouvement œcuménique que l’
utopie
et la tentation d’une unité formelle, humainement vérifiable, assurée
21
ssurée et définitive. Car c’est précisément cette
utopie
qui a produit les schismes et les oppositions, que le mouvement œcumé
22
ce que Dieu voulait qu’il fit. C’est toujours une
utopie
apparente ; en réalité, ce n’est qu’une réponse. Une fois parti, je m