1
fendent sont petits, mal connus7. On les accuse d’
utopie
. Ils tablent en effet sur la chance de l’homme concret, de la personn
2
e l’homme parfait ne sera jamais pour nous qu’une
utopie
dont rien n’atteste la réalité, la puissance, la vérité. Nul idéal hu
3
mplement, ou désirer leur destruction, c’est de l’
utopie
. Ils sont là, et ils ont probablement leur raison d’être. La classe,
4
coup meurent — et d’autre part une espérance, une
utopie
, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », parce que nous
5
é échappe encore à ceux que récitent Marx : une «
utopie
» sans doute, — du moins vraie celle-là. Les témoignages qu’on a pu
6
détiennent l’avantage certain de tabler sur une «
utopie
» partiellement traduite en faits. C’est même, à voir les choses de p
7
des différences entre les hommes, conçurent cette
utopie
de supprimer les différences. Ils se flattaient ainsi d’établir une p
8
la réalité humaine telle qu’elle est, alors que l’
utopie
individualiste fondait son espoir sur une réalité déjà utopique elle-
9
» n’ont pas plus d’effet, pratiquement, que nos «
utopies
». Ou sinon je devrais vous rendre responsables de la crise actuelle
10
e la nature des choses et du destin de l’homme. —
Utopie
! Utopie ! Voyez-vous, je préfère encore Léon Blum, parce que lui, to
11
re des choses et du destin de l’homme. — Utopie !
Utopie
! Voyez-vous, je préfère encore Léon Blum, parce que lui, tout au moi