1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 t, trop souvent et trop aisément défini comme une utopie . Je ne veux en garder ici que le sens le plus général, celui de chang
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
2 s, ou but dernier, de l’homme. C’est toujours « l’ utopie  », qu’on choisit par un acte de foi, qui détermine notre vision rétro
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
3 a raison de Descartes, la logique de Condillac, l’ utopie d’une mathématique sociale telle que la rêva Condorcet11, voilà ce qu
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
4 imites et sans foyer. Sans espérance, il crée des utopies . Sans obéissance, il imagine des lois fatales. Sans Messie, il se fai
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
5 etzschéenne, c’est l’aventure, le romantisme et l’ utopie , enfin le risque créateur qui reviennent tenter l’esprit. Il serait v
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
6 es, de nos pensées, de nos actions et même de nos utopies . Il n’est pas difficile, après coup, de distinguer les très puissante
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 derne se fondent presque toutes nos exagérations, utopies morales, subtilités intempérantes, ou enthousiasmes politiques. Quelq