1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
1 tus et vainqueurs, épuisés, cherchent en vain une utopie nouvelle. Les uns s’abandonnent aux vieilleries et tentent de restaur
2 christianisme au xxe siècle, resterait une pure utopie si les chrétiens s’en remettaient aux Églises pour le réaliser. Les É
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
3 imites et sans foyer. Sans espérance, il crée des utopies . Sans obéissance, il imagine des lois fatales. Sans Messie, il se fai
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
4 de pire menace pour le mouvement œcuménique que l’ utopie et la tentation d’une unité formelle, humainement vérifiable, assurée
5 ssurée et définitive. Car c’est précisément cette utopie qui a produit les schismes et les oppositions que le mouvement œcumén
6 ce que Dieu voulait qu’il fît. C’est toujours une utopie apparente ; en réalité, ce n’est qu’une réponse. Une fois parti, je m
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
7 notre société et de son destin ont culminé dans l’ utopie de George Orwell 1984. Il y eut d’abord ce titre subversif à l’aube d
8 inévitable » de l’Histoire, mais de la faire. L’ utopie masochiste d’Orwell prolongeait le cauchemar stalinien, l’épurait, si
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
9 un homme véritable. On m’opposera sans doute les utopies de George Orwell et d’Aldous Huxley. Elles décrivent des conditionnem
10 e n’étant plus qu’une sorte de bétail savant. Les utopies supposent, en somme, un autofreinage du progrès par les moyens actuel
11 distingue pas moins de la rêverie utopique. Car l’ utopie n’est que la projection dans un avenir an-historique de nos désirs et
12 Et c’est pourquoi j’ai pu écrire ailleurs que « l’ utopie se définit comme un système sans avenir ». Le christianisme est un p