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e l’air oppose au libre jeu de ses ailes. C’est l’
utopie
de l’éducation trop libre en Amérique. L’utopie russe, c’est une colo
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l’utopie de l’éducation trop libre en Amérique. L’
utopie
russe, c’est une colombe programmée, ou tout au moins conditionnée se
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ieux régner, et nommer des préfets partout — pure
utopie
. On ne peut pas non plus faire l’Europe dans le style du congrès de V
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ivision fédéraliste de l’État, inverse exact de l’
utopie
totalitaire. Au reste, les aires d’opération doivent différer selon l
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’État-nation dès ses débuts. Il s’agit donc d’une
utopie
catastrophique, mais dont la réalisation ne saurait être exclue pour
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out saboter en compliquant le problème avec votre
utopie
! » « On ne peut passer des nations souveraines aux régions fédérées
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pas l’Europe, donc si vous persistez à vouloir l’
utopie
d’États-nations régnant « souverainement » sur leurs « sujets », vous
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modèle. Si l’on me dit maintenant que c’est une
utopie
que de vouloir dépasser l’État-nation, je réponds que c’est au contra