1 mais ce n’était pas assez, je suis sorti, sur mon vélo j’ai foncé vers le lac. « Partir ! » et toute la vie qui change, tout

2 nt de la peine à découvrir autrement, à pied ou à vélo . Vous demandez si la prolifération des autos n’en a pas réduit les av

3 es noires. Mais quand il m’arrivait, à pied ou à vélo , de m’aventurer vers Grandchamp, pourtant si proche, il me semblait q

4  ? Avez-vous pu grimper la côte sans descendre de vélo  ? Ah ! vous faites des voyages à bicyclette ? Comme c’est bien ! Vous

5 s rendez-vous. Il arrive, lentement, poussant son vélo à la main, louvoyant dans la foule des voyageurs, et nous allons dîne