1 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
1 . Il y a leur héritage commun de civilisation, de valeurs spirituelles, de formes politiques, et même de mœurs. Les conceptions
2 dialogue créateur. Et que c’est cela qui fait la valeur de l’Europe. Et que c’est cela précisément qui est menacé. Et qu’il n
2 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
3 ervir sans beaucoup d’illusions une cause dont la valeur importe moins que les épreuves qu’elle impose. Nous voici tout près d
4 qu’il faut. Si divers que nous les jugions par la valeur morale ou littéraire, par l’importance aussi de leur rôle historique
5 s plus profonds, et les mieux motivés, quant à la valeur de l’action par laquelle ils se sont illustrés. (Pour le courage phys
3 1953, Articles divers (1951-1956). Une fausse nouvelle : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)
6 n déduit nécessairement qu’aux yeux de Sartre, la valeur morale suprême est la responsabilité, et que cette valeur morale est
7 orale suprême est la responsabilité, et que cette valeur morale est plus importante que tout, puisqu’en son nom l’on peut tran
4 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
8 time la CED, comment ne pas voir qu’au-delà de sa valeur militaire — dont chacun souhaite qu’elle n’ait jamais à faire les pre
5 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
9 ernes que l’indépendance nationale est la suprême valeur humaine, puisqu’en fait on lui sacrifie la santé d’un pays et son niv
10 r par des cloisons étanches, mais comme autant de valeurs « complémentaires », dont le dialogue fait la richesse de l’Occident.
6 1955, Articles divers (1951-1956). Une présence (1955)
11 t c’est une action permanente. Quelle que soit la valeur des sourires que prodiguent désormais les césariens, le Congrès va me
7 1955, Articles divers (1951-1956). Reynold et l’Europe (1955)
12 ment l’œuvre entière de Reynold et lui donnent sa valeur exemplaire : je n’en connais pas de plus « suisse », ni par là même d