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, par crainte de se voir obligé à la révision des
valeurs
, la plus difficile et la plus grave : celle qu’on ne peut faire qu’au
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nquête du confort matériel l’a laissé oublier les
valeurs
de l’esprit au point qu’il n’éprouve plus même cette carence ; seulem
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ividuel dans le monde, lui attribuer sa véritable
valeur
. Il sent obscurément que son travail est antinaturel. Il le méprise o
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ficatives, et dont le tragique est décuplé par la
valeur
qu’il prend dans l’esprit des héros. Un jeune Français a décidé d’all
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arine des Conquérants : « hostilité à l’égard des
valeurs
établies…, goût des actions des hommes lié à la conscience de leur va
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e-ci, mépris de la religion et ferveur pour des «
valeurs
nouvelles » encore plus vagues d’ailleurs que ce qu’ils peuvent imagi
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es, celui de la puissance de l’homme, celui de la
valeur
de son action, celui, en somme, de l’imperfection du monde. Je pense
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s de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en
valeur
dans sa pureté, sa nudité, ce sens de l’artisanat qui se refuse aux t
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le sens d’une philosophie de la vie qui rende aux
valeurs
spirituelles leur primauté : car c’est à cette condition seulement qu
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es critiques d’une tâche impossible. Car toute la
valeur
de l’œuvre de Baring réside dans sa durée, dans son atmosphère et dan
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vent de Kierkegaard, — nous pouvons y attacher la
valeur
d’un signe. Kierkegaard sera pour beaucoup d’esprits en quête d’absol
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légère qui conviennent. Plus encore que par leur
valeur
proprement littéraire et descriptive, elles nous paraissent intéressa
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uveront le besoin de créer véritablement quelques
valeurs
nouvelles, il se peut que certains se tournent vers ces derniers symb
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leurs réconforts. Comment et par quoi mesurer la
valeur
chrétienne d’une âme ? L’action même est souvent trompeuse. Mais la q
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r est net : nous avons à défendre et attester les
valeurs
doctrinales les plus gênantes pour ce monde sans Dieu. Or, ce sont ju
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our ce monde sans Dieu. Or, ce sont justement les
valeurs
que le « christianisme » de Goethe paraît avoir négligées ou niées :
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dans son livre montre un esprit averti des vraies
valeurs
de ce temps. Il réfute MM. Berl et Guéhenno, sur la question de la cu
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urs au nom d’une vérité toute statique, au nom de
valeurs
tout intemporelles qui, n’étant pas religieuses, sont donc abstraites
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plus aigu encore, de la culture bourgeoise et des
valeurs
révolutionnaires. (Mort de la pensée et Mort de la morale bourgeoise
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ne veut-on parler de « désarroi » que lorsque les
valeurs
boursières et la tranquillité publique sont menacées ? La vérité, c’e
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e l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte de
valeur
indépendante à des êtres collectifs. Je m’explique. Quand nous disons
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activité qui ne le concerne pas. Il ne nie pas sa
valeur
intrinsèque. Ou, du moins, il ignore qu’il la nie pratiquement. Il ré
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de rappeler aux peuples où se trouvent les vraies
valeurs
, sans attendre que d’autres aient tout faussé, tout compromis ? Il es
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eule d’entreprendre la confrontation générale des
valeurs
dont le monde croit vivre et des valeurs qui jugent cette vie. C’est
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rale des valeurs dont le monde croit vivre et des
valeurs
qui jugent cette vie. C’est à elle, en particulier, et non pas au mar
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uler. Ils s’attaquent à cette « transmutation des
valeurs
» que tout le monde sent nécessaire, mais que la foi seule rend possi
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ressentiment » que les natures faibles vouent aux
valeurs
aristocratiques. La haine jalouse et rancunière de l’esclave opprimé,
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réside dans la misère. C’est ce renversement des
valeurs
« nobles » qu’il ne cesse de reprocher au christianisme. Voici commen
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ontre avec maîtrise dans un chapitre consacré aux
valeurs
humanitaires, qui me paraît renfermer l’essentiel de son livre. Le le
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r de l’humanité que nous revendiquons les fausses
valeurs
décrites par Nietzsche. Nous ne voulons plus l’acte d’amour personnel
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ulons plus l’acte d’amour personnel — qui est une
valeur
héroïque —, mais nous prônons tout simplement un sentiment que nous j
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la critique de Scheler. À l’origine de toutes les
valeurs
bourgeoises il n’y a pas la Loi, ni l’Évangile, il y a tout au contra
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t-on faire de lui, de ce héros, n’est-ce pas, des
valeurs
de l’esprit que justement l’on fait profession de défendre ? La biogr
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lancs seuls ont su créer des empires solides, des
valeurs
morales stables, de la fidélité. Les blancs seuls savent tenir une pa
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ains du Christ incarné, et qui nie par là même la
valeur
de tous les siècles qui nous séparent apparemment de cet événement ét
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leurs l’apologie, mais sans jamais « déclarer ses
valeurs
», sans jamais renvoyer à une autorité centrale qui donnerait la synt
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… Ceci dit, il est juste d’insister sur la grande
valeur
des travaux de quelques spécialistes français qui, au niveau de la ha
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i, je crois que Dieu connaît la fin, la somme, la
valeur
absolue de nos actions passées, présentes, futures, car elles sont da
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n point de départ. Sans doute garderont-elles une
valeur
historique. Mais comme beaucoup de documents qui prennent par la suit
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aucoup de documents qui prennent par la suite une
valeur
historique, elles auront passé inaperçues en leur temps. Ce manque d’
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enforcer en les rendant plus conscientes de leurs
valeurs
authentiques, et c’est par ce détour, précisément, qu’elle espère att
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etc.) et l’œcuménisme reconnaît pareillement leur
valeur
(églises diverses, paroisses, ordres, etc.). C’est en effet dans le g
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affrontées, il substitue l’émulation vivante des
valeurs
originales. Spinoza définit la paix comme « l’harmonie des âmes forte
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e toute possibilité œcuménique, la subversion des
valeurs
universelles créées par l’évangélisation de la conscience occidentale
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es régions, la pollution, l’énergie nucléaire ont
valeur
symbolique en tant que nœuds de problèmes qu’on ne peut résoudre ou t