1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 D’autre part, on veut donner à l’acte gratuit une valeur morale en disant qu’il révèle ce qu’il y a de plus secret dans la per
2 ient-ils, n’existant pas ? (François Mauriac.) La valeur morale de M. Godeau serait définie par l’aspect seul qu’il souffrirai
3 de garder lui-même à son propre regard. Ainsi la valeur morale d’un homme équivalait-elle à l’illusion qu’il était capable d’
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
4 as procéder à quelque sensationnelle révision des valeurs . Nous savons bien que nous ne faisons que passer, après tant d’autres
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 os langues aériennes. On n’acceptera plus que des valeurs de passion. Balayez ces douanes de l’esprit, proclamez le grand Libre
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
6 alade, les temps seront guéris de leur crise, les valeurs auront retrouvé leur stabilité, et comme M. Albert Muret dont le Jou
5 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
7 ou la croyance moderne et non moins païenne à la valeur absolue de la logique, de l’histoire et des méthodes critiques de M.
6 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
8 t honorés chez les rois. Tenez, lisez ceci : « La valeur du barde du palais, c’est-à-dire le prix qu’on doit payer quand on le