1 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
1 sprit, devant le sentiment, devant ce qui fait la valeur de la vie. Je songe au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces ru
2 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
2 oque a remplacé les critères de la vérité par des valeurs d’intensité, et le respect du bien par celui de la « vie ». Tout ce q
3 ucoup plus ! Car elle a modifié notre échelle des valeurs . La surestimation extravagante de l’amour — j’entends bien de cette f
4 société déprimée comme la nôtre doit recourir aux valeurs dures et rationnelles. Elle se doit de restaurer d’urgence des interd
5 ns une civilisation marquée par la croyance en la valeur unique de chaque être. Il suppose un objet irremplaçable, et comme pr
6 toute autre passion, pour aveugler notre sens des valeurs . Le sexe n’est pas une honte, mais le diable y trouve l’occasion la p
7 ontraire se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs féminines, il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation