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vent. Dire que notre époque a renversé toutes les
valeurs
, c’est trop peu dire. Elle les a, beaucoup plus simplement, supprimée
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à sentir cela. Beaucoup commencent à douter de la
valeur
de ces méthodes qui se disent réaliste, opportuniste ou empirique, ma
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ans l’ordre social, une méconnaissance intime des
valeurs
et de leur hiérarchie. Elle trahit une ignorance à peine croyable de
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raient ou devraient s’égaler. Mais quelle sera la
valeur
du modèle que l’homme peut imaginer de lui-même ? Elle ne sera jamais
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eux était de conserver à ces écrits leur possible
valeur
de témoignages, de partis pris accidentels, plutôt que de leur impose
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ne veut-on parler de « désarroi » que lorsque les
valeurs
boursières et la tranquillité publique sont menacées ? La vérité, c’e
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e l’on a pris l’habitude d’attribuer une sorte de
valeur
indépendante à des êtres collectifs. Je m’explique. Quand nous disons
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s l’intelligence, ni la pensée, ni les fameuses «
valeurs
spirituelles » dont le xixe siècle a fait une véritable inflation. M
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ntitatifs. Enfin, par un étrange renversement des
valeurs
, assez difficile à localiser dans son œuvre, il fonda toute son anthr
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une foi au déterminisme, une croyance en la seule
valeur
des faits tels qu’ils sont, qui paraît à certains égards antirévoluti
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firmer que la primauté du matériel n’avait qu’une
valeur
en quelque sorte tactique, et tout à fait provisoire. Que le but fina
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liberté, dans un monde où seules sont admises les
valeurs
matérielles et quantitatives, figure une sorte de conversion profonde
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ns l’ordre de la liberté. En effet, les nouvelles
valeurs
instituées pendant la période de transition au socialisme ont, d’ores
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ogrès sur notre état présent. Étant admises les «
valeurs
» rationnelles, laïques et collectives, le spirituel soviétique ne po
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ersévérer. » Cette absence d’illusions quant à la
valeur
absolue du résultat, sinon de l’acte, est en même temps le meilleur r
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, et se voit de la sorte contraint d’accorder une
valeur
absolue à des problèmes insondablement relatifs. Le chrétien sait pou
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revendiquer dans leurs discours la défense des «
valeurs
» chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois. L’on voit des clergymen
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pour but de contribuer à la sauvegarde des hautes
valeurs
spirituelles et des vérités saintes que l’Académie d’éducation et d’e
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dée de propriété, l’idée chrétienne28, les hautes
valeurs
, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contrib
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n humaniste, c’est-à-dire d’un homme, pour qui la
valeur
absolue est la vie, non l’obéissance. Et de même un chrétien qui dit,
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t pour le chrétien un pur exercice. Il n’a pas de
valeur
en soi. Il n’est pas une vertu, comme voulurent nous le faire croire
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c’est d’avoir voulu renverser toute l’échelle des
valeurs
occidentales, d’avoir voulu subordonner à l’organisme matériel de l’É
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toute réalité collective. Elle ne croit pas à la
valeur
d’une unité obtenue aux dépens des unités concrètes et de leur nécess
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, du processus révolutionnaire, et que nier cette
valeur
décisive de la personne, c’est désarmer la révolution. Mais il y a pl
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s hommes ne repose plus, aujourd’hui, que sur des
valeurs
extérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de
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our chacun de courir son risque propre. Ainsi, la
valeur
suprême de la personne, c’est, à la limite, l’héroïsme. Nous savons
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auquel il est urgent de rendre son prestige et sa
valeur
d’appel. L’héroïsme véritable, c’est la pointe extrême de la vocation
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bien l’empêcher d’en user ? Sans doute. Et nos «
valeurs
» ne seront jamais cotées sur leurs marchés. Mais nous nous adressons
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ue, bien qu’elle soit prêchée à l’école comme une
valeur
morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie publique.
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met au service du prochain. Elle n’est pas une «
valeur
», mais un acte. Et cet acte n’a lieu que dans l’humilité. Voilà ce q
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a réalité. Elle possède ainsi, par elle-même, une
valeur
morale pour le révolutionnaire, qu’elle prépare sans cesse aux actes
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ice qui affecte dès l’origine sa conception de la
valeur
du travail et, conséquemment, du loisir. Il ne semble pas que rien l’
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réateur, se fondait une analyse du pouvoir et des
valeurs
, et une critique du travail. Cette critique se développa en une doctr
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nal-socialisme préconisent eux aussi toutes ces «
valeurs
», et y ajoutent celles de la race et de la nation, qui donnent à l’e
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elle qu’elle soit, se répercute et prend toute sa
valeur
dans le domaine national80. Les grandes lignes de la politique person
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omment passer du zéro de l’homme devant Dieu à la
valeur
infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notr
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stoire ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la
valeur
varie si curieusement entre zéro et l’infini, et dont tant d’auteurs