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e langage (comme on l’attend de la poésie) ni des
valeurs
(comme on l’attend des philosophes), mais une vision plus vraie, modi
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d’expression du sacré et de l’âme ; non par leur
valeur
figurée, mais par leur valeur figurante. Nul Européen n’a jamais été
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’âme ; non par leur valeur figurée, mais par leur
valeur
figurante. Nul Européen n’a jamais été Tristan, ni Don Juan, — et pas
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iété utilitaire et laborieuse, dont la plus haute
valeur
n’est pas l’union mystique mais la sobriété spirituelle, elle a voulu
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, Musil revient sur ce thème : « Un partenaire de
valeur
inégale déséquilibre l’amour ; seulement, il faudrait ajouter que, bi
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ons de ma nature, ce qui avait ainsi pour moi une
valeur
strictement personnelle, tenant presque au hasard, révélait une signi
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table de pharaon où l’on met sur les cartes des «
valeurs
» invisibles au lieu d’espèces sonnantes. Alors la tricherie cesse d’
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t ! De chaque idée, de chaque croyance, de chaque
valeur
, Nietzsche a voulu violer le secret ; et leur défaite rapide les rend
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erd toute saveur. Il faut détruire maintenant les
valeurs
neuves qu’on avait inventées pour la lutte. Il faut rejeter avec dégo
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n violant la vérité des êtres. Nietzsche pose des
valeurs
qui détruisent les règles anciennes, mais qui ne valent que par ces r
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ouvert à la fois le médium et l’idée », d’où « la
valeur
classique absolue » de son opéra. On pourra multiplier les Faust 28,
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le xiie siècle a fait porter au premier rang les
valeurs
d’art et l’enthousiasme dans la vénération, plutôt que la revendicati
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s mutuels et tirent de cette interdépendance leur
valeur
originale. Kassner reprend un des thèmes essentiels du pré-romantisme
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mme on le fit en France, mais du point de vue des
valeurs
vitales (problème que notre xviie siècle se devait de ne pas poser).
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être qu’implicite et fonction d’une hiérarchie de
valeurs
, non de la seule exactitude des pensées — nous connaissons le modèle
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Œuvre de ce temps, la transmutation créatrice des
valeurs
de l’Orient et de l’Occident. ⁂ Je ne pouvais présenter Kassner à des
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’il est vrai que l’Orient nie le moi, qui est une
valeur
centrale pour l’Occident, il doit en résulter d’infinies conséquences
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la croyance au moi distinct et le recours à la «
valeur
absolue de la personne » sont à peu près universels en Occident. Comm
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que. Le même Kitaro Nishida qui écrit ceci : « La
valeur
religieuse signifie l’absolue négation du moi », ajoute trois pages p
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l crée dans l’homme la personne. Si la plus haute
valeur
de l’Occident chrétien n’est pas la connaissance détachée mais le sac
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tué l’illusion du moi ; au contraire, ce moi sans
valeur
est en train de faire valoir ses revendications, par plusieurs centai
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nvestissent bientôt toute la présence et toute la
valeur
peu à peu retirées aux autres existences. « Écarte les choses, ô aman
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e nécessaires, mais tels qu’on les présente, sans
valeur
spirituelle ? En posant cette question, je n’entends pas un instant p
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s pas un instant proposer une nouvelle échelle de
valeurs
, subordonnant la Vérité aux contingences de l’histoire, voire aux alé