1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 nfin des Occidentaux les plus conscients de leurs valeurs à certains spirituels de l’islam et de l’Inde. Faute de pouvoir établ
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
2 n déduit nécessairement qu’aux yeux de Sartre, la valeur morale suprême est la responsabilité, et que cette valeur morale est
3 orale suprême est la responsabilité, et que cette valeur morale est plus importante que tout, puisqu’en son nom l’on peut tran
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
4 ura une impérieuse exigence de chefs nouveaux, de valeurs nouvelles, d’un idéal nouveau ; un désir puissant de repartir à neuf
5 ce, (scientisme), eudémonisme païen, culte de ces valeurs que l’on dit « appartenir à la vie », création de nouveaux nationalis
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
6 gine du capitalisme moderne et de ses principales valeurs éthiques. Mais Sombart lui répond que le capitalisme est plus ancien,
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
7 es créent, les problèmes qu’elles envisagent, les valeurs morales qu’elles tiennent pour allant de soi, tout est devenu trop di
8 es efforts visibles de propagande en faveur des «  valeurs spirituelles », mais par là même, il trahit peut-être une certaine ab
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
9 ier et les moyens, d’autre part sur le sens et la valeur des réalités captées et révélées par ces moyens. C’est dire que la cr
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
10 aire par ses effets. La vulgarisation extrême des valeurs romanesques ou romantiques est en train de se révéler beaucoup plus d
11 ant simplement aux jeunes que, quelle que soit sa valeur , la romance ne peut être au fondement du mariage. Épouser quelqu’un «
12 otre époque seraient utiles s’ils exprimaient des valeurs qui correspondent aux faits sociaux actuels et à la perte des illusio
13 oujours changeant des sentiments. Car ce sont ces valeurs positives qui constituent le véritable style et l’excellence du siècl
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
14 l y va de notre tout, personnel, mais aussi de la valeur de la communauté pour tous les hommes qui la composent. Ne fût-ce que
15 s gens au service d’une cause présentée comme une valeur de pères de famille. C’est en vérité la croisade du matérialisme hypo
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
16 n point de départ. Sans doute garderont-elles une valeur historique. Mais comme beaucoup de documents qui prennent par la suit
17 aucoup de documents qui prennent par la suite une valeur historique, elles auront passé inaperçues en leur temps. Ce manque d’
18 enforcer en les rendant plus conscientes de leurs valeurs authentiques, et c’est par ce détour, précisément, qu’elle espère att
19 etc.) et l’œcuménisme reconnaît pareillement leur valeur (Églises diverses, paroisses, ordres, etc.). C’est en effet dans le g
20 affrontées, il substitue l’émulation vivante des valeurs originales. Spinoza définit la paix comme « l’harmonie des âmes forte
21 e toute possibilité œcuménique, la subversion des valeurs universelles créées par l’évangélisation de la conscience occidentale
10 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
22 ry, hédoniste épris de la règle et persuadé de la valeur des conventions ; mais n’est-ce pas lui qui ouvrit, en 1919, le grand
23 fit leur grand succès, mais qui limite aussi leur valeur scientifique. Peu de systèmes, sans doute, méritèrent à ce point qu’o
24 ent et révèle une tendance générale au réveil des valeurs de liberté. Première illusion fataliste : « L’URSS est l’avenir ». L’
11 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
25 entales (culte des reliques, transsubstantiation, valeur quantitative des prières récitées, exorcisme, etc.), favorise égaleme
26 s effets de nos techniques et la diffusion de nos valeurs , cette étroite cohérence du christianisme et de la culture née en Eur
27 hnique. Or cette science, cette technique, et les valeurs morales, sociales, économiques et politiques qui en furent le context
28 ent inconscients de ce qui lie ces produits à nos valeurs , religieuses et morales à l’origine, les peuples récemment promus à u
29 t ses lacunes. Elle peut enfin détruire de hautes valeurs spirituelles et culturelles nées de l’hindouisme, du bouddhisme et de
30 de l’islam, sans leur substituer pour autant les valeurs chrétiennes d’origine, oubliées au cours du transport. Je me résume :
31 ristianisme en Occident. Pour que se manifeste la valeur de vérité universelle de l’Évangile de Jésus, il faudra bien dissocie