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man — se distingue donc radicalement du mythe. Sa
valeur
ne relève en effet que du talent de son créateur. Ce qui importe en e
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mocratisé qu’il perd ses vertus esthétiques et sa
valeur
de tragédie spirituelle. Reste une confuse et diffuse souffrance, que
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as de Tristan… Enfin l’on en vient à douter de la
valeur
même des rares motifs allégués. En effet, si la morale de la fidélité
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e les conduit même au-delà de l’origine de toutes
valeurs
morales, au-delà du plaisir et de la souffrance, au-delà du domaine o
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e des chevaliers : il s’agit de faire preuve de «
valeur
», il s’agit d’être le plus fort, ou le plus rusé. Nous avons vu que
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tte extrémité, la volonté de se séparer revêt une
valeur
affective plus forte que la passion même. La mort, qui est le but de
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ù les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la
valeur
du chevalier est telle qu’il les aura bientôt tous surmontés. C’est a
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t pas toujours l’origine et la portée mystique de
valeurs
qu’elle prenait pour une mode et qu’elle accommodait à ses plaisirs.
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gieux et de situation précise dans l’ensemble des
valeurs
qu’il connaît. 50. J. Huizinga, Le Déclin du Moyen Âge, p. 181-182.
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sme des transpositions, et même de reconnaître la
valeur
de certaines objections courantes. Car enfin, dira-t-on, la mystique,
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romantique. La pensée érotique, pour acquérir une
valeur
de culture, doit être stylisée. Elle doit représenter la réalité comp
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tachent leur destinée à des choses d’aussi peu de
valeur
que mes feuilles de saule. » Le reste de la page, admirable, jusqu’au
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Le formalisme militaire revêt à cette époque une
valeur
d’absolu religieux. Il est fréquent qu’on se laisse tuer pour respect
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ne s’effacera guère qu’au xxe siècle. L’idée de
valeur
individuelle, ou d’exploit guerrier, représentée par le duel et la «
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de la stratégie, afin que l’intelligence, et la «
valeur
» des chefs gardent apparemment le premier rang parmi les facteurs de
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me un sacrement ; l’autre exaltait un ensemble de
valeurs
d’où résultait — en principe tout au moins — la condamnation du maria
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imoniale se fondait en effet sur trois groupes de
valeurs
qui lui fournissaient ses « contraintes » — et c’est précisément dans
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mutuelle au terme de la consomption des vieilles
valeurs
non transcendées mais déprimées. 2.Idée moderne du bonheur Le m
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ageure de fonder le mariage, précisément, sur les
valeurs
élaborées par une éthique de la passion. Certes, il serait excessif d
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d’abord exalte la passion, comme étant la suprême
valeur
du « stade esthétique » de la vie ; puis la surmonte en exaltant le m
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puis la surmonte en exaltant le mariage, suprême
valeur
du « stade éthique » (c’est la « plénitude du temps ») ; puis condamn
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sposiez d’une telle science de l’humain que leurs
valeurs
vous soient connues et leur hiérarchie évidente, encore ne sauriez-vo
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voir que cette fidélité est à contre-courant des
valeurs
aujourd’hui vénérées par presque tous. Elle représente le plus profon
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n-conformisme. Elle nie la croyance commune en la
valeur
révélatrice du spontané et de la multiplicité des expériences. Elle n
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xacte de la passion : c’est une affirmation de la
valeur
des choses créées, de la matière, et une application de l’esprit au m
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éprisable. — Non, Seigneur, mais pour un homme de
valeur
et de prix. Vous m’avez faite reine, et ma sœur, vous l’avez épousée
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badours « attendaient que l’Amour leur donnât une
valeur
qui ne leur appartenait pas socialement, par droit de naissance », et
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r d’un Orient symbolique ? Je conteste surtout la
valeur
d’une assimilation entre l’amour courtois des troubadours et une défi
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s contraires. La personne, source et fin de toute
valeur
morale, c’est l’homme libre et relié à la communauté par une vocation