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ent, en vertu même de leur scepticisme quant à la
valeur
réformatrice des idées, m’accuser de faire une critique dangereuse ;
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c’est-à-dire avec des titres pour mépriser toute
valeur
simplement humaine, et une honte secrète qui exaspérait ce mépris et
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e sont absolument personnelles et qu’elles ont la
valeur
d’un témoignage, ni plus ni moins — il est temps que je fasse passer
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des possibilités d’adaptation de l’enfant ; de la
valeur
fort inégale de ces disciplines ; de la diversité des besoins ; enfin
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t contact direct avec ce dont ils traitent. Or la
valeur
éducative des choses n’apparaît qu’à celui qui entre en commerce inti
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de gâcher leur travail. Or ce travail n’a qu’une
valeur
éducatrice : s’il n’est pas modèle, il est absurde. Mais où sont à l’
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e le mieux le traitement scolaire ; celui dont la
valeur
humaine subsiste intacte au milieu des conditions anormales créées pa
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i l’élève discipliné. L’école veut que partout la
valeur
cède le pas à la règle. Elle cherche à développer chez nos petits Hel
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ur célébrer les bienfaits sociaux, que dis-je, la
valeur
hautement moralisatrice de ces glapissants entonnoirs. D’ailleurs cet
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si je ne sentais menacées dans cette aventure des
valeurs
d’âme auxquelles je tiens plus qu’à tout. Ma haine de la démocratie e
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à l’Église et à la famille. L’Église donnait des
valeurs
idéalistes, la famille des valeurs réalistes, sans lesquelles le mond
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se donnait des valeurs idéalistes, la famille des
valeurs
réalistes, sans lesquelles le monde s’enfonce de son propre poids dan
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n monde organisé pour la production. Le culte des
valeurs
désintéressées ne peut que diminuer le « rendement » quantitatif de c
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utile à tous que le bien médiocre de beaucoup. La
valeur
vaut mieux que le nombre parce qu’elle le contient en puissance. Et c
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e, se laisse convaincre de substituer à l’idée de
valeur
celle de service : qu’il imagine, en effet, les soins nécessaires à l