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» du pouvoir fédéral. (Être fédéraliste, pour tel
Vaudois
fameux, se réduisait à être « contre Berne ».) Rien n’est moins fidèl
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: « Vous pouvez être séparatiste ou nationaliste
vaudois
, mais vous ne pouvez pas être fédéraliste du même coup, parce que le
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evaleresque dans le langage d’une petite noblesse
vaudoise
embourgeoisée et dans le registre de la souffrance intime et du renon
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de la vie de ses voisins francophones : les uns (
Vaudois
) passés à la Réforme, les autres (Savoyards) en guerre chronique avec
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nois, pourtant germanophones, plutôt que vers les
Vaudois
, pourtant francophones, ou les Fribourgeois catholiques. Cependant qu
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ierre Viret est autochtone, qui domine la Réforme
vaudoise
. Leurs descendants donneront naissance à un complexe de philosophie e
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sont rien de plus que des clichés. Il y a chez le
Vaudois
une bonhomie un peu cynique, une sorte de paresse qui peut être rusée