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e regard de mes voisins. Ainsi d’autres fois j’ai
vibré
au passage des rapides de l’Europe centrale ; non pas de cette jubila
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e le film des funérailles romaines. Quelque chose
vibre
dans l’obscurité, des régions endormies de la conscience humaine de n
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ndiées de roses, à la piscine, dans la pinède qui
vibre
au vent chaud de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et
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ieu parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait
vibrer
les parois et le plancher de la cabine. Le petit ventilateur pivotant