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rmer ce qui existe et fut bien fait par Dieu. Nos
vices
mêmes ne sont pas de véritables créations du diable, mais seulement d
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ent presque invisible à la conscience humaine. Un
vice
, c’est une vertu désorbitée ou réduite à l’insignifiance. C’était le
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s’appartient pas, n’a pas de qualités propres, de
vices
ou de vertus, ni même de compte en banque, et à peine un état civil.
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e divinisation prométhéenne. Nos vertus comme nos
vices
n’avaient plus l’air de rien, et leur insignifiance était leur diabol
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u puritain tenté et qui se fait une caricature du
vice
d’autrui pour éviter de le reconnaître en lui-même. Je soupçonne une
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oir ici. Ainsi le diable nous fait signe dans nos
vices
et nous attend dans nos vertus. Sachant qu’il se révèle trop aisément
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e l’insignifiance de nos vertus autant que de nos
vices
. Or les vertus insignifiantes, privées de sens et qui n’ont l’air de
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vertu purifiée par l’affront. Il gardait, dans le
vice
, un style de l’âme. Le contraste qu’on vient d’esquisser peut nous fa
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nous faire vivre. Il est moins dangereux dans nos
vices
que dans nos vertus satisfaites. Il est moins dangereux dans les antr
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triomphes du Progrès. Seule, la distribution des
vices
et des vertus se modifie, selon que le diable renouvelle la stratégie
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le domaine par excellence des quiproquos entre le
vice
et la vertu. Nulle part l’homme ne se dupe mieux sur ses motifs et ne
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enture du désir, embrouillant nos vertus dans nos
vices
et notre goût naturel du bonheur dans le vertige du malheur ; et qu’e
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aient du diable leur instrument pour exténuer les
vices
à force d’y céder. L’orgie leur tenait lieu d’ascèse et la communauté
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, dans la profanation ou le blasphème, ni dans le
vice
catalogué que j’ai cherché la trace du diable, mais dans l’immense, l