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t là, sur le sol, les yeux grands ouverts dans le
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, sans rien voir. Ainsi le moujik devant le bolchévique violant sa pa
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n dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée
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que personne n’a plus l’idée de visiter. » Mais comment ne pas voir q
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l’Objet inconnu. On passe une barrière, une cour
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; on prend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont
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ba est moins théâtral). D’ailleurs le tombeau est
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. Et les babouches ? Pas de babouches. Je sais bien que ce n’est pas l
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it Noël, — la plus sombre de l’année par les rues
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sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor
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s bouteilles sont placées au hasard dans l’espace
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où tourne la fumée des cigares. Assis sur la banquette, quelques boug
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ongrie… Le tombeau de Gül Baba est symboliquement
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. Quant à l’arbre de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’
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t-Georges, à Bude, est une place vraiment royale.
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, elle prend toute sa hauteur. Silencieuse, solennelle de nudité, entr
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.) La liqueur de pêche rend démonstratif, dont on
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trois verres d’un trait en guise de salut. C’est alors que se déplien
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ns. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages
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aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’
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t déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains
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, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses, tout c
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les mystiques appellent leur désert, — cette zone
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qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plu
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echerche de Gérard par les rues noires aux palais
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mais hantés, et dans les grands cafés du centre… Quelle autre rencont