1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 t là, sur le sol, les yeux grands ouverts dans le vide , sans rien voir. Ainsi le moujik devant le bolchévique violant sa pa
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
2 n dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée vide que personne n’a plus l’idée de visiter. » Mais comment ne pas voir q
3 l’Objet inconnu. On passe une barrière, une cour vide  ; on prend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont
4 ba est moins théâtral). D’ailleurs le tombeau est vide . Et les babouches ? Pas de babouches. Je sais bien que ce n’est pas l
5 it Noël, — la plus sombre de l’année par les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor
6 s bouteilles sont placées au hasard dans l’espace vide où tourne la fumée des cigares. Assis sur la banquette, quelques boug
7 ongrie… Le tombeau de Gül Baba est symboliquement vide . Quant à l’arbre de Noël, il ne devait à nulle pendeloque insolite l’
8 t-Georges, à Bude, est une place vraiment royale. Vide , elle prend toute sa hauteur. Silencieuse, solennelle de nudité, entr
9 .) La liqueur de pêche rend démonstratif, dont on vide trois verres d’un trait en guise de salut. C’est alors que se déplien
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
10 ns. J’ai traversé l’angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au hasard, j’
11 t déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les mains vides , faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses, tout c
12 les mystiques appellent leur désert, — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plu
13 echerche de Gérard par les rues noires aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre… Quelle autre rencont